Je ne sais pas comment pleurent vos morts
Ni la douleur de ne plus voir les cimes de nos immensités percer les cieux.
Noyées sous les flots de nos propres fleuves,
Les hivers ont eu raison de nos coeurs.
Quittés par l'ivresse, fendus comme des pierres,
Ils dansent au gré des vents
Cruelle illusion du temps perpétuel
Rien au delà de la perte, rien !
Je ne sais pas comment pleurent vos morts
Mais il est des souffrances qui perçent les mémoires
Injectés de sang, les yeux dévastés
Les coeurs hurlent à mes oreilles
Ils s'ouvrent et se déversent en ma poitrine
Parce que les voies de l'excès on été détruites par la raison
Ils bougent dans le vide, seuls
Parce que les chants du savoir ne sont parcourus que de soupirs insensés
Ces corps qui tombent, tombent
Nos iratus es contra nos
En vieillissant les hommes se durcissent, jusqu'à leur mort.
La puissance et la connaissance nous ont menés au néant
La faiblesse et l'ignorance auraient peut être pu...
Non, il est impossible de le transmettre
Non il n'y a jamais eu d'autres voix que celles qui nous ont guidés
Et nous annoncent maintenant la fin de notre ère
Revoir nos étoiles briller
Les flammes montant au ciel,
Vers ce que nous aurions dû être
Revoir ces rêves qui nous ont trahis
Nous laissant seuls, vides, sans vie
Le néant hurle à mes oreilles
Seul le vent s'engouffre dans mon être,
Emportant les derniers...
Ni la douleur de ne plus voir les cimes de nos immensités percer les cieux.
Noyées sous les flots de nos propres fleuves,
Les hivers ont eu raison de nos coeurs.
Quittés par l'ivresse, fendus comme des pierres,
Ils dansent au gré des vents
Cruelle illusion du temps perpétuel
Rien au delà de la perte, rien !
Je ne sais pas comment pleurent vos morts
Mais il est des souffrances qui perçent les mémoires
Injectés de sang, les yeux dévastés
Les coeurs hurlent à mes oreilles
Ils s'ouvrent et se déversent en ma poitrine
Parce que les voies de l'excès on été détruites par la raison
Ils bougent dans le vide, seuls
Parce que les chants du savoir ne sont parcourus que de soupirs insensés
Ces corps qui tombent, tombent
Nos iratus es contra nos
En vieillissant les hommes se durcissent, jusqu'à leur mort.
La puissance et la connaissance nous ont menés au néant
La faiblesse et l'ignorance auraient peut être pu...
Non, il est impossible de le transmettre
Non il n'y a jamais eu d'autres voix que celles qui nous ont guidés
Et nous annoncent maintenant la fin de notre ère
Revoir nos étoiles briller
Les flammes montant au ciel,
Vers ce que nous aurions dû être
Revoir ces rêves qui nous ont trahis
Nous laissant seuls, vides, sans vie
Le néant hurle à mes oreilles
Seul le vent s'engouffre dans mon être,
Emportant les derniers...