Paroles et musique: Rodor, Warms, 1938
Quand l'étranger débarque en Corse
Il ne peut en croire ses yeux
Il est saisit par une force
Un attrait si mystérieux
Et parmi toutes ces merveilles
Cette mer bleue ces grands rochers
Dans un village aux mille treilles
Il aperçoit un vieux clocher
C'est le clocher de mon village
C'est le clocher le plus joli
Recouvert de lierre sauvage
Cachant ses vieux murs décrépis
Et délaissant tous les bocages
Les oiseaux construisent leurs nids
Nous égayant de leurs ramages
Dans le clocher de mon pays
Dans la nuit le pêcheur s'égare
Il ne peut retrouver le port
Le vieux clocher lui sert de phare
Il voit sa petite croix d'or
Et sous les rayons de la lune
Lance ses reflets lumineux
Et s'avançant dans la nuit brune
Le pêcheur chante tout joyeux
C'est le clocher de mon village
C'est le clocher de mon pays
De tous les écueils du rivage
Il me protège, il me conduit
Lorsque le vent tourne à l'orage
Je trouve un abri près de lui
Et je ne crains plus les naufrages
Près du clocher de mon pays
Quand l'étranger débarque en Corse
Il ne peut en croire ses yeux
Il est saisit par une force
Un attrait si mystérieux
Et parmi toutes ces merveilles
Cette mer bleue ces grands rochers
Dans un village aux mille treilles
Il aperçoit un vieux clocher
C'est le clocher de mon village
C'est le clocher le plus joli
Recouvert de lierre sauvage
Cachant ses vieux murs décrépis
Et délaissant tous les bocages
Les oiseaux construisent leurs nids
Nous égayant de leurs ramages
Dans le clocher de mon pays
Dans la nuit le pêcheur s'égare
Il ne peut retrouver le port
Le vieux clocher lui sert de phare
Il voit sa petite croix d'or
Et sous les rayons de la lune
Lance ses reflets lumineux
Et s'avançant dans la nuit brune
Le pêcheur chante tout joyeux
C'est le clocher de mon village
C'est le clocher de mon pays
De tous les écueils du rivage
Il me protège, il me conduit
Lorsque le vent tourne à l'orage
Je trouve un abri près de lui
Et je ne crains plus les naufrages
Près du clocher de mon pays