a**is au bord de la Seine,
Je contemplais les bateaux mouches
Un type, un rien obscène,
M'a reluqué de façon louche
J'ai fait mine de rien, j'ai rongé mon frein,
Je suis resté bien sage
Mais j'imaginais bien
Son cou entre mes mains et la bave et la bave
a**is sur un banc public,
Je regardais passer les passants
Une vieille, un rien lubrique,
S'est mise à me causer du beau temps
J'ai fait mine de rien, j'ai rongé mon frein,
Je suis resté bonne pête
Mais j'imaginais bien
Sa tête sous mon poing qui éclate, qui éclate
Ainsi je t'écris d'une terrasse,
On ne peut plus serein, cette lettre
Malgré qu'un vieux sac à vinasse
Vient de me taper une cigarette
Ne t'inquiète pas tout va bien même si des fois
Ils sont graves et même dangereux les gens
Je te visiterai bien mais j'ai des trous dans la cave
Qui me prennent tout mon temps
Je t'embrasse bien ma maman
Je contemplais les bateaux mouches
Un type, un rien obscène,
M'a reluqué de façon louche
J'ai fait mine de rien, j'ai rongé mon frein,
Je suis resté bien sage
Mais j'imaginais bien
Son cou entre mes mains et la bave et la bave
a**is sur un banc public,
Je regardais passer les passants
Une vieille, un rien lubrique,
S'est mise à me causer du beau temps
J'ai fait mine de rien, j'ai rongé mon frein,
Je suis resté bonne pête
Mais j'imaginais bien
Sa tête sous mon poing qui éclate, qui éclate
Ainsi je t'écris d'une terrasse,
On ne peut plus serein, cette lettre
Malgré qu'un vieux sac à vinasse
Vient de me taper une cigarette
Ne t'inquiète pas tout va bien même si des fois
Ils sont graves et même dangereux les gens
Je te visiterai bien mais j'ai des trous dans la cave
Qui me prennent tout mon temps
Je t'embrasse bien ma maman