Dans les profondeurs, sous les douleurs
Dans les abîmes de l'homme s'illumine toujours le coeur
En plongeant au fond des sources d'émotions
Sous la pureté s'incline l'humaine noirceur que mène la peur
Dans l'ombre d'un chêne, je rêve
Que sans l'ombre d'un doute il règne,
Dans les humains, sous tant de froideur, une douce lueur
Pris du mal en dedans, tous ces gens méchants
Dont la beauté n'existe plus vraiment
Au lieu de se détruire à mort, on pourrait croire très fort
En la volonté de vivre d'amour et de bien, de partage et de liens
Pour tous ces enfants qu'on porte en dedans,
Que la vérité se lève, que les masques se jettent, pour qu'on voie vraiment
Scintillantes splendeurs, vers les grandeurs de l'âme divine
La paix est possible de l'intérieur
Dans les abîmes de l'homme s'illumine toujours le coeur
En plongeant au fond des sources d'émotions
Sous la pureté s'incline l'humaine noirceur que mène la peur
Dans l'ombre d'un chêne, je rêve
Que sans l'ombre d'un doute il règne,
Dans les humains, sous tant de froideur, une douce lueur
Pris du mal en dedans, tous ces gens méchants
Dont la beauté n'existe plus vraiment
Au lieu de se détruire à mort, on pourrait croire très fort
En la volonté de vivre d'amour et de bien, de partage et de liens
Pour tous ces enfants qu'on porte en dedans,
Que la vérité se lève, que les masques se jettent, pour qu'on voie vraiment
Scintillantes splendeurs, vers les grandeurs de l'âme divine
La paix est possible de l'intérieur