Comment l'oublier
G.Sinoué/J.Barnel/B.Liamis
(Hommage au Président Egyptien "Anwar as-Sadat " a**assiné en 1981)
Il était fils de lumière, comment l'oublier ?
Paysan né de la terre, comment l'oublier ?
Depuis ce matin d'automne
Le fleuve immobile raisonne
D'un silence étrange désemparé
Oh, oh
Le vent a porté sa voix, comment l'oublier ?
De Luxor à Sakarya, comment l'oublier ?
Comment effacer le rêve quand au ciel blessé s'élève
Le cri d'une colombe qui est tombée
Etait-ce un ange ? Était ce un homme ? Qui peut le dire ?
Mais il a marqué l'histoire de souvenirs
Là-bas au pied des pyramides sous le soleil
Il dort pareil aux pharaons
La vallée des rois m'a dit : "Comment l'oublier ?"
Il pleut sur Alexandrie, comment l'oublier ?
Le ciel bleu n'a plus de flammes
Le sphinx a perdu ses larmes
D'avoir trop pleuré, bien trop pleuré
Même si parfois il a soulevé des orages
Comment être indifférent à son message ?
Car il n'avait qu'une seule idée
Faire de la terre avec ses frères
Une terre de paix
Oh, oh
Il était fils de lumière, comment l'oublier ?
Paysan né de la terre, comment l'oublier ?
Il a tracé une route que d'autres suivront sans doute
Pour que vive encore le grand espoir
Oh, oh, oh
Comment l'oublier ?
Comment l'oublier ?
Oh, oh, oh.
1982
G.Sinoué/J.Barnel/B.Liamis
(Hommage au Président Egyptien "Anwar as-Sadat " a**assiné en 1981)
Il était fils de lumière, comment l'oublier ?
Paysan né de la terre, comment l'oublier ?
Depuis ce matin d'automne
Le fleuve immobile raisonne
D'un silence étrange désemparé
Oh, oh
Le vent a porté sa voix, comment l'oublier ?
De Luxor à Sakarya, comment l'oublier ?
Comment effacer le rêve quand au ciel blessé s'élève
Le cri d'une colombe qui est tombée
Etait-ce un ange ? Était ce un homme ? Qui peut le dire ?
Mais il a marqué l'histoire de souvenirs
Là-bas au pied des pyramides sous le soleil
Il dort pareil aux pharaons
La vallée des rois m'a dit : "Comment l'oublier ?"
Il pleut sur Alexandrie, comment l'oublier ?
Le ciel bleu n'a plus de flammes
Le sphinx a perdu ses larmes
D'avoir trop pleuré, bien trop pleuré
Même si parfois il a soulevé des orages
Comment être indifférent à son message ?
Car il n'avait qu'une seule idée
Faire de la terre avec ses frères
Une terre de paix
Oh, oh
Il était fils de lumière, comment l'oublier ?
Paysan né de la terre, comment l'oublier ?
Il a tracé une route que d'autres suivront sans doute
Pour que vive encore le grand espoir
Oh, oh, oh
Comment l'oublier ?
Comment l'oublier ?
Oh, oh, oh.
1982