Au sommet d'un grand baobab,
Une fille formidable
Est en train de faire la sieste.
Et tout en bas du baobab,
Une tribu de minables
Épie ses mots et ses gestes.
En pensant : « Quelle saveur elle a ?
Enfin ça nous changera
Des indigénes indigestes.
Sur qu'avec un bon thermostat,
On va se lécher les doigts.
Il n'y aura pas de restes. »
[Refrain] :
Mais là-haut, Jane la Tarzane
Se pavane de lianes en lianes.
On entend dans la savane :
« Qu'elle est jolie la Tarzane ! »
Jane la Tarzane
Se pavane de liane en liane.
Tous les goulus des alentours
En feraient bien leur plat du jour.
Sous les branches du baobab,
Les cuisiniers cannibales
Ont installé la marmite.
Il vont presque se mettre a table
En se disant : « C'est fatal
Elle va tomber, elle est pwête. »
Tout autour du feu, bien à l'aise,
Ils préparent la mayonaise
Et le bouillon qui crépite,
En se demandant qui aura
Le blanc , la cuisse ou le bras
Quand grillera la petite.
[Refrain]
Une fille formidable
Est en train de faire la sieste.
Et tout en bas du baobab,
Une tribu de minables
Épie ses mots et ses gestes.
En pensant : « Quelle saveur elle a ?
Enfin ça nous changera
Des indigénes indigestes.
Sur qu'avec un bon thermostat,
On va se lécher les doigts.
Il n'y aura pas de restes. »
[Refrain] :
Mais là-haut, Jane la Tarzane
Se pavane de lianes en lianes.
On entend dans la savane :
« Qu'elle est jolie la Tarzane ! »
Jane la Tarzane
Se pavane de liane en liane.
Tous les goulus des alentours
En feraient bien leur plat du jour.
Sous les branches du baobab,
Les cuisiniers cannibales
Ont installé la marmite.
Il vont presque se mettre a table
En se disant : « C'est fatal
Elle va tomber, elle est pwête. »
Tout autour du feu, bien à l'aise,
Ils préparent la mayonaise
Et le bouillon qui crépite,
En se demandant qui aura
Le blanc , la cuisse ou le bras
Quand grillera la petite.
[Refrain]