Quand on a des emmerdements
Quand on se cherche une maman
Quand on a trop de sentiments
C'est pour moi
Quand les enfants sont pas gentils
Quand on aime trop son mari
Ou qu'on voudrait qu'il soit parti
C'est pour moi
Quand on cherche en vain l'amitié
Quand on ne peut pas s'exprimer
C'est pas pour la porte à côté
C'est pour moi
L'araignée qui cherche un régime
L'auteur qui court après sa rime
La bavarde qui fait du mime
Cherchez pas
C'est pour moi
Lâchez-moi
J'ai déjà donné
J'en ai a**ez de vous bercer
Il faudrait toute la journée que je materne
Lâchez-moi
Ca finira mal
C'est de l'invasion cérébrale
Ca me consterne
J'ai mal
Mais ceux qu'on voudrait voir fleurir
Ceux qu'on rêve avant de dormir
Ceux dont on aime le sourire
Où sont-ils ?
On ne les voit jamais pleurer
C'est à la pince à épiler
Qu'il faut leur tirer leurs secrets
C'est facile
Ils n'arrosent pas mon paillasson
Apprennent tout seuls leurs leçons
Ignorent vraiment sans façon
Leur nombril
Les qui ont pas le temps d'être tristes
Les qui avouent quand on insiste
Que le bonheur parfois résiste
Je les cherche
Où sont-ils ?
Lâchez-moi
Vous me piratez
En moi vous prenez vos quartiers
En plus vous me barricadez contre les autres
Lâchez-moi
Car vous me ruinez
Moi en matière d'amitié
Je ne suis pas un gros banquier
Mais j'ai mes pauvres
Cachés
A force de le répéter
Je finirai par m'inventer
Un égoïsme forcené
Vous verrez
Je boufferai le récepteur
Du téléphone et quel bonheur
J'a**assinerai le facteur
Je ne vous écouterai plus
J'vous laiss'rai vous pleurer dessus
Là vous ne serez pas déçus
Vous verrez
La grande sourde qui ricane
L'indifférence à l'œil qui plane
L'écluse qui a fermé ses vannes
Ce s'ra moi
Vous verrez
Lâchez-moi
Laissez-moi souffler
Je ne suis pas votre bouée
Apprenez plutôt à nager
C'est plus utile
Lâchez-moi
Et peut-être un soir
J'aurais envie de vous revoir
Je dirai ils sont en r*****
C'est difficile
Mais j'en garde l'espoir !
Quand on se cherche une maman
Quand on a trop de sentiments
C'est pour moi
Quand les enfants sont pas gentils
Quand on aime trop son mari
Ou qu'on voudrait qu'il soit parti
C'est pour moi
Quand on cherche en vain l'amitié
Quand on ne peut pas s'exprimer
C'est pas pour la porte à côté
C'est pour moi
L'araignée qui cherche un régime
L'auteur qui court après sa rime
La bavarde qui fait du mime
Cherchez pas
C'est pour moi
Lâchez-moi
J'ai déjà donné
J'en ai a**ez de vous bercer
Il faudrait toute la journée que je materne
Lâchez-moi
Ca finira mal
C'est de l'invasion cérébrale
Ca me consterne
J'ai mal
Mais ceux qu'on voudrait voir fleurir
Ceux qu'on rêve avant de dormir
Ceux dont on aime le sourire
Où sont-ils ?
On ne les voit jamais pleurer
C'est à la pince à épiler
Qu'il faut leur tirer leurs secrets
C'est facile
Ils n'arrosent pas mon paillasson
Apprennent tout seuls leurs leçons
Ignorent vraiment sans façon
Leur nombril
Les qui ont pas le temps d'être tristes
Les qui avouent quand on insiste
Que le bonheur parfois résiste
Je les cherche
Où sont-ils ?
Lâchez-moi
Vous me piratez
En moi vous prenez vos quartiers
En plus vous me barricadez contre les autres
Lâchez-moi
Car vous me ruinez
Moi en matière d'amitié
Je ne suis pas un gros banquier
Mais j'ai mes pauvres
Cachés
A force de le répéter
Je finirai par m'inventer
Un égoïsme forcené
Vous verrez
Je boufferai le récepteur
Du téléphone et quel bonheur
J'a**assinerai le facteur
Je ne vous écouterai plus
J'vous laiss'rai vous pleurer dessus
Là vous ne serez pas déçus
Vous verrez
La grande sourde qui ricane
L'indifférence à l'œil qui plane
L'écluse qui a fermé ses vannes
Ce s'ra moi
Vous verrez
Lâchez-moi
Laissez-moi souffler
Je ne suis pas votre bouée
Apprenez plutôt à nager
C'est plus utile
Lâchez-moi
Et peut-être un soir
J'aurais envie de vous revoir
Je dirai ils sont en r*****
C'est difficile
Mais j'en garde l'espoir !