Chanter la vie, chanter les autres
Chanter le triste et puis le gai
Raconter tout ce qui est nôtre
Je peux le faire et je le fais,
Chanter l´espoir ou la déprime
La guerre ou la fraternité
À l´aise avec tout ce qui rime
Je n´ai pas souvent hésité
Je peux chanter même à l´envers
Faire prendre l´été pour l´hiver
{Refrain:}
Mais comme Higelin
Comme les copains
Je me demanderai toujours
Comment faire les chansons d´amour
Y a un langage à inventer
Qui dise l´imprudence d´aimer
J´ai beau creuser, j´ai beau chercher
Je ne l´ai pas trouvé
Y a un langage à inventer
Le cœur qui bat, le cœur qui cogne
Et fait mine de s´arrêter
Tous les mensonges sans vergogne
Toutes les belles vérités
Tout ce qu´on dit quand on se trouve
Ce qu´on oublie quand on se perd
Et les tempêtes qu´on éprouve
Les arcs-en-ciel à cœur ouvert
Je m´en approche quelquefois
Les effleure du bout des doigts
{au Refrain}
Et puis, le cœur à marée basse
Et puis, le corps transi de froid
Ouvert à tous les vents qui passent
Je l´ai chanté plus d´une fois
Mais quand je me voudrais tendresse
Mais quand je me voudrais passion
Les mots s´échappent et me laissent
Ligotée dans ma déception
Je peux chanter tour ce qu´on veut
Laissez-moi juste y croire un peu
{au Refrain}
Alors, je marche à l´aveuglette
Et dans mon désert, pas à pas
Je désespère et je m´inquiète
Et si on ne m´entendait pas?
Et si on pensait que j´ignore
Les coups de cœur et de printemps
Les dix-huit ans qui brûlent encore
Et puis qui brûleront longtemps?
J´ai bien toujours comme autrefois
Un cœur qui ne s´arrête pas
{au Refrain}
J´aurais tant voulu
T´écrire
Une chanson d´amour
Chanter le triste et puis le gai
Raconter tout ce qui est nôtre
Je peux le faire et je le fais,
Chanter l´espoir ou la déprime
La guerre ou la fraternité
À l´aise avec tout ce qui rime
Je n´ai pas souvent hésité
Je peux chanter même à l´envers
Faire prendre l´été pour l´hiver
{Refrain:}
Mais comme Higelin
Comme les copains
Je me demanderai toujours
Comment faire les chansons d´amour
Y a un langage à inventer
Qui dise l´imprudence d´aimer
J´ai beau creuser, j´ai beau chercher
Je ne l´ai pas trouvé
Y a un langage à inventer
Le cœur qui bat, le cœur qui cogne
Et fait mine de s´arrêter
Tous les mensonges sans vergogne
Toutes les belles vérités
Tout ce qu´on dit quand on se trouve
Ce qu´on oublie quand on se perd
Et les tempêtes qu´on éprouve
Les arcs-en-ciel à cœur ouvert
Je m´en approche quelquefois
Les effleure du bout des doigts
{au Refrain}
Et puis, le cœur à marée basse
Et puis, le corps transi de froid
Ouvert à tous les vents qui passent
Je l´ai chanté plus d´une fois
Mais quand je me voudrais tendresse
Mais quand je me voudrais passion
Les mots s´échappent et me laissent
Ligotée dans ma déception
Je peux chanter tour ce qu´on veut
Laissez-moi juste y croire un peu
{au Refrain}
Alors, je marche à l´aveuglette
Et dans mon désert, pas à pas
Je désespère et je m´inquiète
Et si on ne m´entendait pas?
Et si on pensait que j´ignore
Les coups de cœur et de printemps
Les dix-huit ans qui brûlent encore
Et puis qui brûleront longtemps?
J´ai bien toujours comme autrefois
Un cœur qui ne s´arrête pas
{au Refrain}
J´aurais tant voulu
T´écrire
Une chanson d´amour