Dans le néant vespéral
Les astres sont des flambeaux de haine
J'aspire à la vérité ophidienne
Gouffre chthonien, antre de l'aversion
Sirius, mon guide dans l'extase funèbre
Révèle à l'Héritier les arcanes de son sang
L'effroi illumine ma voie, je perçois la ruine en éminence
Un oremus cristallin s'élève vers les cieux
La dualité de ma noblesse fait écho à la décadence des âges
Dans l'ascension vertigineuse de mon âme captive
La lance de Longinus est mienne, elle guide la ferveur de ma vindicte
Auréolé de haine et de flammes, j'impose un bellicisme de grandeur
Conquérant la duplicité mortifère, la funeste double-hérédité
Je crache le venin de l'abnégation et dissous les ferments de la médiocrité
Je sombre dans des tréfonds d'un noir d'ébène, asphyxié par la terreur clandestine
Mystère de l'exil, où le trépas de l'âme s'augure sous un soleil morne
Une lutte t**anesque contre un démiurge aux traits de ménechme
Miroir déformant des limbes, pétrifiant telle la grande Gorgone
C'est d'un éclat tragique que brille mon royaume, un temple apollinien teinté d'amertume
d***é jusqu'au sublime, ma destinée se veut funeste
La gloire se conquiert dans les flammes
La dignité et l'honneur élevés en sacerdoce
La volonté de renaître - immaculé au zénith
Majesté de la ruine, splendeur de l'adversité
J'ai bu le calice jusqu'à la lie
Héritage morbide de l'élite sardonique
L'éternité passée dans cet abîme rampant
Révèle à l'élu les mystères du caducée
Les astres sont des flambeaux de haine
J'aspire à la vérité ophidienne
Gouffre chthonien, antre de l'aversion
Sirius, mon guide dans l'extase funèbre
Révèle à l'Héritier les arcanes de son sang
L'effroi illumine ma voie, je perçois la ruine en éminence
Un oremus cristallin s'élève vers les cieux
La dualité de ma noblesse fait écho à la décadence des âges
Dans l'ascension vertigineuse de mon âme captive
La lance de Longinus est mienne, elle guide la ferveur de ma vindicte
Auréolé de haine et de flammes, j'impose un bellicisme de grandeur
Conquérant la duplicité mortifère, la funeste double-hérédité
Je crache le venin de l'abnégation et dissous les ferments de la médiocrité
Je sombre dans des tréfonds d'un noir d'ébène, asphyxié par la terreur clandestine
Mystère de l'exil, où le trépas de l'âme s'augure sous un soleil morne
Une lutte t**anesque contre un démiurge aux traits de ménechme
Miroir déformant des limbes, pétrifiant telle la grande Gorgone
C'est d'un éclat tragique que brille mon royaume, un temple apollinien teinté d'amertume
d***é jusqu'au sublime, ma destinée se veut funeste
La gloire se conquiert dans les flammes
La dignité et l'honneur élevés en sacerdoce
La volonté de renaître - immaculé au zénith
Majesté de la ruine, splendeur de l'adversité
J'ai bu le calice jusqu'à la lie
Héritage morbide de l'élite sardonique
L'éternité passée dans cet abîme rampant
Révèle à l'élu les mystères du caducée