Profiter du moment pour balancer en rime sans frime
On sait qu'on touchera pas la prime du silence mais j'pense
Qu'il serait temps de parler du présent.
Car même si j'rêve d'une vie de nomade
C'est pas vraiment qu'je sois malade
Juste l'impression de venir d'un ancien temps.
Besoin d'partir il faut qu'j'respire j'veux mourir
Etouffé par la connerie j'veux voir le monde bouffer la vie, j'paierai
En larmes ou à crédit, de toute façon si j'fais l'compte
A part du vent y'a rien sur le compte
Contenu du fait pour les fêtes on s'paye en rire à la buvette
T'inquiète mec j'pars sur les routes en mobylette !
Parcourir les mers sur un rafiot en bois d'cagette
Sans gadget juste un clacos et une baguette
Et pour le luxe une teille de rhum et une boulette !
J'ai pas envie de m'enfermer
J'ai pas envie de m'enterrer
J'ai pas envie d'un marchand de sable
Qui vienne s'a**oir à ma table.
J'veux battre la mesure jusqu'à l'usure de ma démesure,
Une barrière ou un mur moi j'p***e dessus à coup sûr !
J'ai le stylo qui s'évade d'une prison de vie fade,
J'pousse les potars à fond pour rendre sourdes mes illusions.
REVOLUTION REVOLUTION REVOLUTION STOP !
J'ai plus a**ez de peinture
Pour peindre la toile de mon futur.
Alors j'en profite pour passer
La serpillère sur mon passé
Et prendre la bonne correspondance
Rejoindre l'île de mon insouciance.
J'me casse j'me fais la malle
J'suivrai la piste des étoiles
J'frai le tour du monde sans escale
En montgolfière ou à cheval !
Refrain :
Naître à Zikaland, quel meilleur futur
T'a**ure de sûr à nos enfants.
Car au-delà des murs, même les durs endurent,
La mise en boîte de leurs sentiments.
Peut être que j'rêve, le temps d'une trêve,
D'avoir l'impression d'être en grève.
De m'retrouver avec les miens,
Sous l'arbre du jardin,
Donner du rêve à nos lendemains.
Mais aujourd'hui c'est au bout du comptoir que je m'évade,
J'refais le monde au pastaga pour le rendre un peu moins fade
Car c'est le seul moyen de transport que j'ai trouvé pour m'enfuir,
Un coup de soleil sur ma cervelle pour faire bronzer mon avenir.
Pression des médias telle une prise d'otage,
Une sorte de papillon coincé entre deux pages
D'un livre bien écrit qui parlait d'esclavage.
Gavage de consommation dans les garages !
Faut que j'balance en cadence à base de drum'n'bass
C'est toute la salle qui part en transe,
Evidente décadence dans l'savoir vivre la tolérance;
Mais j'pense qu'en France ils sont nombreux
Les abonnés de la bonne ambiance !
Allez c'est l'heure j'mets mes baskets
Je prends la route j'me mets en quête
Donner enfin un sens aux rêves
Qui frappent en vain sous ma casquette.
J'croiserais peut être des montagnes
Qui m'raconteront l'histoire d'un sage
Qu'on avait envoyé au bagne trop d'utopie dans ses bagages.
Puis je m'arrêterai dans la savane
Le temps d'écouter la pavane
Du vent qui vient de nos campagnes
Aux rythmes des bulles de champagne.
Et au final j'espère qu'une chose
C'est qu'une bonne dose d'amour s'impose
Avant que ceux qui pleurent
N'aient plus que le subtil parfum d'une rose.
Refrain :
Naître à Zikaland, quel meilleur futur
T'a**ure de sur à nos enfants.
Car au-delà des murs, même les durs endurent,
La mise en boîte de leurs sentiments.
Peut être que j'rêve, le temps d'une trêve,
D'avoir l'impression d'être en grève.
De m'retrouver avec les miens,
Sous l'arbre du jardin,
Donner du rêve à nos lendemains
On sait qu'on touchera pas la prime du silence mais j'pense
Qu'il serait temps de parler du présent.
Car même si j'rêve d'une vie de nomade
C'est pas vraiment qu'je sois malade
Juste l'impression de venir d'un ancien temps.
Besoin d'partir il faut qu'j'respire j'veux mourir
Etouffé par la connerie j'veux voir le monde bouffer la vie, j'paierai
En larmes ou à crédit, de toute façon si j'fais l'compte
A part du vent y'a rien sur le compte
Contenu du fait pour les fêtes on s'paye en rire à la buvette
T'inquiète mec j'pars sur les routes en mobylette !
Parcourir les mers sur un rafiot en bois d'cagette
Sans gadget juste un clacos et une baguette
Et pour le luxe une teille de rhum et une boulette !
J'ai pas envie de m'enfermer
J'ai pas envie de m'enterrer
J'ai pas envie d'un marchand de sable
Qui vienne s'a**oir à ma table.
J'veux battre la mesure jusqu'à l'usure de ma démesure,
Une barrière ou un mur moi j'p***e dessus à coup sûr !
J'ai le stylo qui s'évade d'une prison de vie fade,
J'pousse les potars à fond pour rendre sourdes mes illusions.
REVOLUTION REVOLUTION REVOLUTION STOP !
J'ai plus a**ez de peinture
Pour peindre la toile de mon futur.
Alors j'en profite pour passer
La serpillère sur mon passé
Et prendre la bonne correspondance
Rejoindre l'île de mon insouciance.
J'me casse j'me fais la malle
J'suivrai la piste des étoiles
J'frai le tour du monde sans escale
En montgolfière ou à cheval !
Refrain :
Naître à Zikaland, quel meilleur futur
T'a**ure de sûr à nos enfants.
Car au-delà des murs, même les durs endurent,
La mise en boîte de leurs sentiments.
Peut être que j'rêve, le temps d'une trêve,
D'avoir l'impression d'être en grève.
De m'retrouver avec les miens,
Sous l'arbre du jardin,
Donner du rêve à nos lendemains.
Mais aujourd'hui c'est au bout du comptoir que je m'évade,
J'refais le monde au pastaga pour le rendre un peu moins fade
Car c'est le seul moyen de transport que j'ai trouvé pour m'enfuir,
Un coup de soleil sur ma cervelle pour faire bronzer mon avenir.
Pression des médias telle une prise d'otage,
Une sorte de papillon coincé entre deux pages
D'un livre bien écrit qui parlait d'esclavage.
Gavage de consommation dans les garages !
Faut que j'balance en cadence à base de drum'n'bass
C'est toute la salle qui part en transe,
Evidente décadence dans l'savoir vivre la tolérance;
Mais j'pense qu'en France ils sont nombreux
Les abonnés de la bonne ambiance !
Allez c'est l'heure j'mets mes baskets
Je prends la route j'me mets en quête
Donner enfin un sens aux rêves
Qui frappent en vain sous ma casquette.
J'croiserais peut être des montagnes
Qui m'raconteront l'histoire d'un sage
Qu'on avait envoyé au bagne trop d'utopie dans ses bagages.
Puis je m'arrêterai dans la savane
Le temps d'écouter la pavane
Du vent qui vient de nos campagnes
Aux rythmes des bulles de champagne.
Et au final j'espère qu'une chose
C'est qu'une bonne dose d'amour s'impose
Avant que ceux qui pleurent
N'aient plus que le subtil parfum d'une rose.
Refrain :
Naître à Zikaland, quel meilleur futur
T'a**ure de sur à nos enfants.
Car au-delà des murs, même les durs endurent,
La mise en boîte de leurs sentiments.
Peut être que j'rêve, le temps d'une trêve,
D'avoir l'impression d'être en grève.
De m'retrouver avec les miens,
Sous l'arbre du jardin,
Donner du rêve à nos lendemains