Je t'entends faire le tapage, tu fais des "Rhaa ! " Tu fais des "Yo ! "
Enfant des cités marécages. Po ! Po ! Po ! Po ! Po ! Po !
Tu fais la rime en long, en large, et t'as pas besoin du dico,
Le Larousse il a pas la place aux quartiers chauds.
Tes mots qui tuent sur les fanzines : "Independant Black Movement"
Soutien sec aux raggamuffins et tu dis "Listen" !
Porter la visière on the side tu m'accostes et tu me déchires.
Tu dis que je suis le Mister Hyde des gros délires.
Que mes chansons sont des galères, qu'elles poussent au petit roupillon,
Que j'mystifie alors que dans l'air, y'a du plomb !
J'parle, parle, des minorités
J'parle, parle, des minorités
J'parle, parle, des minorités
Z.E.B.D.A says "Welcome to you" !
Tu déclares l'état d'urgence toi le créateur du possee,
Tu veux le gang mais faut qu'il pense et avertisse.
Tu veux pas le possee bourrin mais le phrasé kalashnikov,
Briser le sommeil des voisins, de tous les beaufs.
Tu veux l'humour mais t'as la haine, c'est le mélange actif,
C'est le grand coup que tu a**ènes sur le pif,
T'as pas le trac et tu accostes les blacks et les céfrans
Pour parler t'as choisi le toast et t'as du cran.
Reconnu fight c'est le talent, libérateur dans le ghetto,
OK, on a le même sang, mais pas la peau !
J'parle, parle, des minorités...
Et moi plus le temps me taquine et plus il sillonne ma gueule
Je prends des amphétamines et j'suis moins seul. Badaboum !
Plus le temps me dessine un visage clair de beauf :
Le vendredi soir télé Apostrophes (Enfin !)
A vingt heures j'allume et j'avale tous les ragots
Y'a plus que j'a**ume. Ah ! Si Bernard Pivot...
Plus besoin de craquer dix sacs dans les bibliothèques
Moi je m'instruis en mangeant un steak !
Je fais la connaissance de "culture" et je m'éveille
Et même allongé sur mes deux oreilles.
a**is dans ma cuisine je poignarde les miroirs
Qui se moquent de mes nouveaux réflexes.
Plus besoin de quitter le plan familio-cathodique
On nous rassure, on est démocratique.
Hervé Claude ou la Cinq sur la mort : ils font que des zooms
Sur la Une, moi mon cœur, il fait pas boum...
Hervé Claude ou la Cinq sur la mort : ils font que des zooms
Sur la Une c'est mon flingue qui fait boum !
Sur la Une c'est mon flingue qui fait boum !...
Enfant des cités marécages. Po ! Po ! Po ! Po ! Po ! Po !
Tu fais la rime en long, en large, et t'as pas besoin du dico,
Le Larousse il a pas la place aux quartiers chauds.
Tes mots qui tuent sur les fanzines : "Independant Black Movement"
Soutien sec aux raggamuffins et tu dis "Listen" !
Porter la visière on the side tu m'accostes et tu me déchires.
Tu dis que je suis le Mister Hyde des gros délires.
Que mes chansons sont des galères, qu'elles poussent au petit roupillon,
Que j'mystifie alors que dans l'air, y'a du plomb !
J'parle, parle, des minorités
J'parle, parle, des minorités
J'parle, parle, des minorités
Z.E.B.D.A says "Welcome to you" !
Tu déclares l'état d'urgence toi le créateur du possee,
Tu veux le gang mais faut qu'il pense et avertisse.
Tu veux pas le possee bourrin mais le phrasé kalashnikov,
Briser le sommeil des voisins, de tous les beaufs.
Tu veux l'humour mais t'as la haine, c'est le mélange actif,
C'est le grand coup que tu a**ènes sur le pif,
T'as pas le trac et tu accostes les blacks et les céfrans
Pour parler t'as choisi le toast et t'as du cran.
Reconnu fight c'est le talent, libérateur dans le ghetto,
OK, on a le même sang, mais pas la peau !
J'parle, parle, des minorités...
Et moi plus le temps me taquine et plus il sillonne ma gueule
Je prends des amphétamines et j'suis moins seul. Badaboum !
Plus le temps me dessine un visage clair de beauf :
Le vendredi soir télé Apostrophes (Enfin !)
A vingt heures j'allume et j'avale tous les ragots
Y'a plus que j'a**ume. Ah ! Si Bernard Pivot...
Plus besoin de craquer dix sacs dans les bibliothèques
Moi je m'instruis en mangeant un steak !
Je fais la connaissance de "culture" et je m'éveille
Et même allongé sur mes deux oreilles.
a**is dans ma cuisine je poignarde les miroirs
Qui se moquent de mes nouveaux réflexes.
Plus besoin de quitter le plan familio-cathodique
On nous rassure, on est démocratique.
Hervé Claude ou la Cinq sur la mort : ils font que des zooms
Sur la Une, moi mon cœur, il fait pas boum...
Hervé Claude ou la Cinq sur la mort : ils font que des zooms
Sur la Une c'est mon flingue qui fait boum !
Sur la Une c'est mon flingue qui fait boum !...