Il faudrait que j'arrête de ne pas faire de sport
Que je fasse une escale dans mes vagabondages
Je m' donne trop en spectacle, il faut qu'je fasse relâche
Et que je coupe enfin ce poil que j'ai dans la main
Il faudrait que je cesse de boire plus que convenu
Que je tienne mes promesses sans qu'elles ne se diluent
Dans le rouge attrayant de ce vin délectable
Qui réduit à néant mon côté respectable
Il faudrait que j'arrête de trousser la fée verte
Qui ne me transformera jamais en poète
Et les pensées profondes dans lesquelles je me noie
Je devrais les cerner avec un regard froid
Mais je remets au lendemain ce que j'ai pas su faire hier
et je vais feignant l'effort je peux pas dire que j'en sois fier
Mais....A chaque jour suffit sa peine
Etc....
Faut-il être un peu con pour vivre sans la mode
Et ostensiblement en ignorer les codes
A partir de bientôt en bon consommateur
Je ferai de toutes marques la base de mes valeurs
J' tire sur le mégot trop souvent je l'avoue
Aux croisés du tabac qui se soucient de nous
Je prend une bouffée, une pensée m'effleure :
"Les couloirs de la mort seront-ils non fumeurs ?"
Et je remets au lendemain ce que j'ai pas pu faire hier
et je vais feignant l'effort je peux pas dire que j'en sois fier
A chaque jour suffit sa peine
Etc....
Pour être un vrai winner, un battant, un killer
Il faudrait que je me lève aux aurores comme une fleur
La nuit portant conseil je la suis jusqu'à tard
Et quand je me réveille je suis déja en r'tard
Le temps sales mes tempes et tend à me prouver
Que j'vais mourir c'est sûr d'arrêter d'respirer
J'ai beau me dire que vivre c'est mourir quand même
J'ai du mal quand à la perspective du chrysanthème
Et je remets au lendemain ce que j'ai pas pu faire hier
et je vais feignant l'effort je peux pas dire que j'en sois fier
A chaque jour suffit sa peine
Etc....
Que je fasse une escale dans mes vagabondages
Je m' donne trop en spectacle, il faut qu'je fasse relâche
Et que je coupe enfin ce poil que j'ai dans la main
Il faudrait que je cesse de boire plus que convenu
Que je tienne mes promesses sans qu'elles ne se diluent
Dans le rouge attrayant de ce vin délectable
Qui réduit à néant mon côté respectable
Il faudrait que j'arrête de trousser la fée verte
Qui ne me transformera jamais en poète
Et les pensées profondes dans lesquelles je me noie
Je devrais les cerner avec un regard froid
Mais je remets au lendemain ce que j'ai pas su faire hier
et je vais feignant l'effort je peux pas dire que j'en sois fier
Mais....A chaque jour suffit sa peine
Etc....
Faut-il être un peu con pour vivre sans la mode
Et ostensiblement en ignorer les codes
A partir de bientôt en bon consommateur
Je ferai de toutes marques la base de mes valeurs
J' tire sur le mégot trop souvent je l'avoue
Aux croisés du tabac qui se soucient de nous
Je prend une bouffée, une pensée m'effleure :
"Les couloirs de la mort seront-ils non fumeurs ?"
Et je remets au lendemain ce que j'ai pas pu faire hier
et je vais feignant l'effort je peux pas dire que j'en sois fier
A chaque jour suffit sa peine
Etc....
Pour être un vrai winner, un battant, un killer
Il faudrait que je me lève aux aurores comme une fleur
La nuit portant conseil je la suis jusqu'à tard
Et quand je me réveille je suis déja en r'tard
Le temps sales mes tempes et tend à me prouver
Que j'vais mourir c'est sûr d'arrêter d'respirer
J'ai beau me dire que vivre c'est mourir quand même
J'ai du mal quand à la perspective du chrysanthème
Et je remets au lendemain ce que j'ai pas pu faire hier
et je vais feignant l'effort je peux pas dire que j'en sois fier
A chaque jour suffit sa peine
Etc....