Ecoute au lointain la peine du loup qui se meurt
La chair et la neige se mêlant avec le sang et la haine
Mon amour pour toi m'a mené à la schizophrénie
Et j'erre si seul dans mes propres fantasmagories
Embrasse-moi, je t'accueille puissant dieu de la nuit
L'agonie déchire ma peau et la lumière alors m'apparaît
Me révélant ainsi ma pauvre et misérable vie
Sur le sentier vierge et morne des héros perdus, je péris...
Ne me pardonne pas je n'en ai pas besoin
Un souhait mourant c'est tout ce que tu demeures
J'aurais pu toucher la fin de mon martyre
Mais tu as décidé d'empoisonner mes veines
Et maintenant je ne peux même plus mourir
Car les ténèbres ne me cacheront pas
Mon âme est vide et mon cœur est si froid
Pas de délivrance, juste de la peine et de la souffrance
Si seulement j'avais pu te tuer
J'aurais pu te garder prés de moi
Ce que la vie ne m'a pas enseigné
La mort me le dira
Une fois que je fus à genoux pour te supplier
De me sauver de tes péchés...de tous tes péchés
Mais tous mes jours devinrent nuits
Mon passé réduit en cendres, pas d'aube
Plus d'aurore ni d'espoir, rien que la haine
Glaçant mon sang si noir
Je jure que je ne te laisserai pas devenir saine
Prends garde à la furie d'un fantôme périssant
Qui sombre dans les souvenirs et la peine!
La folie me submerge, je me tiens comme un enfant
Face à ses erreurs, sans mots, mon âme disparaît
Ma fierté me quitte
La mort, la mort, la mort
C'est tout ce qui me reste à vivre
Mais je dois d'abord achever ma propre tragédie
Un souhait un soupir mourant...
Au plus profond de mon être
J'ai peur de ce spectre
Le pardon que tu invoques
C'est toi-même qui me l'a retiré
Un enfant aurait pu naître
Mais c'est un horrible c***n qui à surgit
Pourquoi devrais-je vivre plus longtemps?
Je mourrai de t'avoir aimé
Meurs, meurs, meurs, meurs avec moi
La grande faucheuse approche de ce champ infertile
Que je suis devenu!
Plus rien ne vit en cette marionnette
Rien que de la poussière d'étoile qui disparaît avec une larme
Qui s'envole avec le souffle du loup traqué, désespéré...
Jamais plus je ne me tiendrai debout
Et pourtant la nuit aurait du engendrer l'aurore
Entends-tu au loin le cris du loup qui se meurt
C'est sa toute dernière complainte
Aucun récital ne me sauvera de mon agonie céleste
La chair et la neige se mêlant avec le sang et la haine
Mon amour pour toi m'a mené à la schizophrénie
Et j'erre si seul dans mes propres fantasmagories
Embrasse-moi, je t'accueille puissant dieu de la nuit
L'agonie déchire ma peau et la lumière alors m'apparaît
Me révélant ainsi ma pauvre et misérable vie
Sur le sentier vierge et morne des héros perdus, je péris...
Ne me pardonne pas je n'en ai pas besoin
Un souhait mourant c'est tout ce que tu demeures
J'aurais pu toucher la fin de mon martyre
Mais tu as décidé d'empoisonner mes veines
Et maintenant je ne peux même plus mourir
Car les ténèbres ne me cacheront pas
Mon âme est vide et mon cœur est si froid
Pas de délivrance, juste de la peine et de la souffrance
Si seulement j'avais pu te tuer
J'aurais pu te garder prés de moi
Ce que la vie ne m'a pas enseigné
La mort me le dira
Une fois que je fus à genoux pour te supplier
De me sauver de tes péchés...de tous tes péchés
Mais tous mes jours devinrent nuits
Mon passé réduit en cendres, pas d'aube
Plus d'aurore ni d'espoir, rien que la haine
Glaçant mon sang si noir
Je jure que je ne te laisserai pas devenir saine
Prends garde à la furie d'un fantôme périssant
Qui sombre dans les souvenirs et la peine!
La folie me submerge, je me tiens comme un enfant
Face à ses erreurs, sans mots, mon âme disparaît
Ma fierté me quitte
La mort, la mort, la mort
C'est tout ce qui me reste à vivre
Mais je dois d'abord achever ma propre tragédie
Un souhait un soupir mourant...
Au plus profond de mon être
J'ai peur de ce spectre
Le pardon que tu invoques
C'est toi-même qui me l'a retiré
Un enfant aurait pu naître
Mais c'est un horrible c***n qui à surgit
Pourquoi devrais-je vivre plus longtemps?
Je mourrai de t'avoir aimé
Meurs, meurs, meurs, meurs avec moi
La grande faucheuse approche de ce champ infertile
Que je suis devenu!
Plus rien ne vit en cette marionnette
Rien que de la poussière d'étoile qui disparaît avec une larme
Qui s'envole avec le souffle du loup traqué, désespéré...
Jamais plus je ne me tiendrai debout
Et pourtant la nuit aurait du engendrer l'aurore
Entends-tu au loin le cris du loup qui se meurt
C'est sa toute dernière complainte
Aucun récital ne me sauvera de mon agonie céleste