Il y a au Centre Ville de l'eau qui coule au bord des rues
Et qu'on balaye au jour levé
J'irai du pas tranquille de ceux qui ne sont jamais revenus
Et qui n'ont rien à regretter
Parce que, tu vois, bien sûr, tu ne m'as pas dit de te suivre; et là, je suis d'accord
Y a tellement de choses à voir dans ton sourire quand tu dors.
J'ai le souvenirs d'un grand bâteau blanc sur la mer de ton corps
Mais je ne pense pas que j'étais fait pour vivre à son bord
Il y a vers la presqu'île des barques qui s'en vont le soir
Vers où nous ne seront jamais allé.
Les adieux difficiles de ceux que l'on ne va jamais revoir
Laissent tant de choses à oublier.
Parce que, tu vois, bien sûr, tu ne m'as pas dit de te suivre; et là, je suis d'accord.
Y a tellement de choses à voir dans ton sourire quand tu dors.
J'ai le souvenirs d'un grand bâteau blanc sur la mer de ton corps
Mais je ne pense pas que j'étais fait pour vivre à son bord.
A son bord
Et qu'on balaye au jour levé
J'irai du pas tranquille de ceux qui ne sont jamais revenus
Et qui n'ont rien à regretter
Parce que, tu vois, bien sûr, tu ne m'as pas dit de te suivre; et là, je suis d'accord
Y a tellement de choses à voir dans ton sourire quand tu dors.
J'ai le souvenirs d'un grand bâteau blanc sur la mer de ton corps
Mais je ne pense pas que j'étais fait pour vivre à son bord
Il y a vers la presqu'île des barques qui s'en vont le soir
Vers où nous ne seront jamais allé.
Les adieux difficiles de ceux que l'on ne va jamais revoir
Laissent tant de choses à oublier.
Parce que, tu vois, bien sûr, tu ne m'as pas dit de te suivre; et là, je suis d'accord.
Y a tellement de choses à voir dans ton sourire quand tu dors.
J'ai le souvenirs d'un grand bâteau blanc sur la mer de ton corps
Mais je ne pense pas que j'étais fait pour vivre à son bord.
A son bord