Le coner shop, le drugstore
Double decker bus encore
Des garçons en haut des marches
Et les filles à Marble arch
Toi tu regardes en passant
Et tout est pareil qu'avant
Tu la connais cette histoire
Tu reconnais les trottoirs
La vodka et le rubis
Dérobés dans un taxi
En traversant tu revois
Nos silhouettes à cet endroit
Et dans l'décor
Tu traines encore
Et dans l'décor
Tu sais les amours qui passent
Les amours qui se remplacent
Tu n'auras pas réussi
À effacer celui-ci
Et la photo dans ton sac
Es enfants sur le hamac
Ce soir tu es revenue
Tu voulais revoir la rue
Revoir la poussière du square
Ce soir la lumière du square
Tu voulais revoir ta vie
Même si la vie s'est enfuie
Depuis
Et dans l'décor
Tu traines encore
Et dans l'décor
Et dans l'décor
Tu traines encore
Et dans l'décor
JANE BIRKIN :
"C'était tellement inouï que quelqu'un m'aime bien,
et c'était Serge, et qui me disait que j'étais jolie,
que je n'pouvais pas imaginer que c'était, que ce soit vrai"
Double decker bus encore
Des garçons en haut des marches
Et les filles à Marble arch
Toi tu regardes en passant
Et tout est pareil qu'avant
Tu la connais cette histoire
Tu reconnais les trottoirs
La vodka et le rubis
Dérobés dans un taxi
En traversant tu revois
Nos silhouettes à cet endroit
Et dans l'décor
Tu traines encore
Et dans l'décor
Tu sais les amours qui passent
Les amours qui se remplacent
Tu n'auras pas réussi
À effacer celui-ci
Et la photo dans ton sac
Es enfants sur le hamac
Ce soir tu es revenue
Tu voulais revoir la rue
Revoir la poussière du square
Ce soir la lumière du square
Tu voulais revoir ta vie
Même si la vie s'est enfuie
Depuis
Et dans l'décor
Tu traines encore
Et dans l'décor
Et dans l'décor
Tu traines encore
Et dans l'décor
JANE BIRKIN :
"C'était tellement inouï que quelqu'un m'aime bien,
et c'était Serge, et qui me disait que j'étais jolie,
que je n'pouvais pas imaginer que c'était, que ce soit vrai"