a**is dans les rues de Berlin
Des visages crus et sales rongés par la faim
Les mêmes foot le tour des cafés
Chapardant aux vieilles dames du pâté
Mendiants aux grands yeux fuyant d'autres feux
Les enfants poursuivent la mission de Dieu
Ils font ce que disent leurs mamans
Ils n'ont pas de honte et pas de questions
Affronter le mépris est une règle du jeu
Comme ex 1915 quand Berlin crachait le feu
En 95 les visages se ressemblent
Mais cette fois-ci c'est la terre qui tremble
Les Gipsies arrivent
Les Gipsies sont là
bis
Les murs sont ouverts
Vers l'ouest des affaires
Les Gipsies arrivent
Les Gipsies sont là
bis
Les trains sont remplis
A l'ouest le paradis
On les parque dans les camps, seize par chambre
Des ballons colorés remplissent leurs ventres
En quittant leurs villages, leur sang, leurs aînés
Ils attendent le pain de la liberté
Les compagnons d'hier trahissent leurs pères
Au marché noir os à la fête de la bière
Emportant avec eux leurs superstitions
Ils rejoignent la caravane des nations
Leur destin accroché dans le dos
Les gars apprennent vite ce qu'il faut
Les mains sont agiles, les doigts sont retorts
Quand on passe devant eux comme devant des ports
REFRAIN
Refoulés aux frontières on leur trouve sale mine
D'Europe, d'Asie ou d'Amérique latine
Même s'ils viennent d'Afrique, on gueule Gipsy
Que fais-tu là, et montre-moi ton permis de vivre ici
Laisse-moi te dire ce qui t'attend
Un travail dans la merde xx faire le mendiant
REFRAIN
Des visages crus et sales rongés par la faim
Les mêmes foot le tour des cafés
Chapardant aux vieilles dames du pâté
Mendiants aux grands yeux fuyant d'autres feux
Les enfants poursuivent la mission de Dieu
Ils font ce que disent leurs mamans
Ils n'ont pas de honte et pas de questions
Affronter le mépris est une règle du jeu
Comme ex 1915 quand Berlin crachait le feu
En 95 les visages se ressemblent
Mais cette fois-ci c'est la terre qui tremble
Les Gipsies arrivent
Les Gipsies sont là
bis
Les murs sont ouverts
Vers l'ouest des affaires
Les Gipsies arrivent
Les Gipsies sont là
bis
Les trains sont remplis
A l'ouest le paradis
On les parque dans les camps, seize par chambre
Des ballons colorés remplissent leurs ventres
En quittant leurs villages, leur sang, leurs aînés
Ils attendent le pain de la liberté
Les compagnons d'hier trahissent leurs pères
Au marché noir os à la fête de la bière
Emportant avec eux leurs superstitions
Ils rejoignent la caravane des nations
Leur destin accroché dans le dos
Les gars apprennent vite ce qu'il faut
Les mains sont agiles, les doigts sont retorts
Quand on passe devant eux comme devant des ports
REFRAIN
Refoulés aux frontières on leur trouve sale mine
D'Europe, d'Asie ou d'Amérique latine
Même s'ils viennent d'Afrique, on gueule Gipsy
Que fais-tu là, et montre-moi ton permis de vivre ici
Laisse-moi te dire ce qui t'attend
Un travail dans la merde xx faire le mendiant
REFRAIN