Phrases, serments qui tôt s'envolent,
Soupirs, baisers frivoles,
De vous je suis las.
D'autres ne voient que cela,
Pour moi l'amour n'est pas là.
Garde ton âme claire et pure
De toutes les souillures,
Ô, toi que j'attends,
Toi, ma princesse au cœur dormant,
Toi, mon si doux roman.
Un jour je te dirai :
C'est toi que j'aime,
Alors j'inventerai
D'ardents poèmes.
Pour toi je chanterai
Les mots suprêmes
Lorsque je te dirai :
C'est toi que j'aime.
L'ombre, la nuit sur mes yeux pose
Ce voile qui repose
Du jour trop brutal.
Mon cœur te cherche, j'ai mal,
Quel ciel te garde, quel val ?
Tout bas, puisque j'ignore en somme
Le nom dont on te nomme,
Ma lèvre dit : Toi.
Toi, c'est mon rêve, c'est ma foi,
C'est plus que tout pour moi.
Un jour je te dirai :
C'est toi que j'aime,
Alors j'inventerai
D'ardents poèmes.
Pour toi je chanterai
Les mots suprêmes
Lorsque je te dirai :
C'est toi que j'aime.
~ ~ ~
Lorsque je te dirai :
C'est toi que j'aime.
Soupirs, baisers frivoles,
De vous je suis las.
D'autres ne voient que cela,
Pour moi l'amour n'est pas là.
Garde ton âme claire et pure
De toutes les souillures,
Ô, toi que j'attends,
Toi, ma princesse au cœur dormant,
Toi, mon si doux roman.
Un jour je te dirai :
C'est toi que j'aime,
Alors j'inventerai
D'ardents poèmes.
Pour toi je chanterai
Les mots suprêmes
Lorsque je te dirai :
C'est toi que j'aime.
L'ombre, la nuit sur mes yeux pose
Ce voile qui repose
Du jour trop brutal.
Mon cœur te cherche, j'ai mal,
Quel ciel te garde, quel val ?
Tout bas, puisque j'ignore en somme
Le nom dont on te nomme,
Ma lèvre dit : Toi.
Toi, c'est mon rêve, c'est ma foi,
C'est plus que tout pour moi.
Un jour je te dirai :
C'est toi que j'aime,
Alors j'inventerai
D'ardents poèmes.
Pour toi je chanterai
Les mots suprêmes
Lorsque je te dirai :
C'est toi que j'aime.
~ ~ ~
Lorsque je te dirai :
C'est toi que j'aime.