L'ombre s'enfuit.
Adieu beau rêve
Où les baisers s'offraient comme des fleurs !...
La nuit fut brève...
Hélas, pourquoi faut il que s'achève
La chanson du bonheur...
L'ombre s'enfuit.
Ma lèvre hésite à murmurer,
Après de doux aveux,
Des mots d'adieu.
Le soleil paraît trop vite !...
Faut-il donc que l'on se quitte ?...
Que m'importe à moi l'envol du temps !...
Je voudrais tant r*****er l'aurore
Et t'aimer encore...
L'ombre s'enfuit.
Le jour se lève...
Un peu de nous, avec la nuit se meurt...
L'espoir fait trêve.
Nous ne retrouvons plus dans nos deux coeurs
Que tristesse et que pleurs !...
L'ombre s'enfuit.
Tout n'est que songe
Et tu n'est plus, malgré nos désirs,
Qu'un souvenir.
Si l'amour n'est que mensonge
Au parfum triste qui ronge,
S'il est vrai qu'à moi ta lèvre ment,
Sache pourtant que toujours, quand même,
Cher Amour, je t'aime éperdument...
Eperdument
Adieu beau rêve
Où les baisers s'offraient comme des fleurs !...
La nuit fut brève...
Hélas, pourquoi faut il que s'achève
La chanson du bonheur...
L'ombre s'enfuit.
Ma lèvre hésite à murmurer,
Après de doux aveux,
Des mots d'adieu.
Le soleil paraît trop vite !...
Faut-il donc que l'on se quitte ?...
Que m'importe à moi l'envol du temps !...
Je voudrais tant r*****er l'aurore
Et t'aimer encore...
L'ombre s'enfuit.
Le jour se lève...
Un peu de nous, avec la nuit se meurt...
L'espoir fait trêve.
Nous ne retrouvons plus dans nos deux coeurs
Que tristesse et que pleurs !...
L'ombre s'enfuit.
Tout n'est que songe
Et tu n'est plus, malgré nos désirs,
Qu'un souvenir.
Si l'amour n'est que mensonge
Au parfum triste qui ronge,
S'il est vrai qu'à moi ta lèvre ment,
Sache pourtant que toujours, quand même,
Cher Amour, je t'aime éperdument...
Eperdument