Qui est mort ? Qui le pleur ?
Mais qui en portera le deuil ?
Qui en paiera les conséquences ?
Qui s'en arrange ? Qui en meurt ?
Il reste la chair et les os.
Des souvenirs. Qui est le Bourreau ?
L"amour, la volonté, l'esprit.
Mon épitaphe, ma ligne de vie.
J'incline vers l"hérésie de Caïn.
Par ce sacrifice, protège les miens.
Un nouveau jour se lève,
Mon supplice est éternel.
Je lègue au monde ; sans femme ni enfant.
Tout mon savoir, mon testament.
Au nom des nôtres, au nom des tiens.
J'incline vers l"hérésie de Caïn.
Au nom des nôtres, protège les miens
Par ce sacrifice, Protège les miens.
Briser ses os
De mes mains mortes et froides
À qui la faute.
Pardonnez-moi.
De mes mains mortes et froide
Pardonnez moi
Le mal est fait, je le regarde en face.
Ce jour est là et la douleur se joue de moi.
Le mal est fait, je le regarde en face
Ce jour est là, nos destins entre mes doigts.
J"ai vu le feu dans ses yeux,
Puis son regard vide, sans aveux.
Je savoure cet instant funeste.
Le diable au corps, la mort me guette.
Je lègue au monde; sans femme ni enfant.
Toute ma richesse, mon châtiment.
Au nom des nôtres, au nom des tiens.
J'incline vers l"hérésie de Caïn.
Au nom des nôtres,
par ce sacrifice, Protèges les miens.
Briser ses os
De mes mains mortes et froides
À qui la faute.
Pardonnez-moi.
Mais qui en portera le deuil ?
Qui en paiera les conséquences ?
Qui s'en arrange ? Qui en meurt ?
Il reste la chair et les os.
Des souvenirs. Qui est le Bourreau ?
L"amour, la volonté, l'esprit.
Mon épitaphe, ma ligne de vie.
J'incline vers l"hérésie de Caïn.
Par ce sacrifice, protège les miens.
Un nouveau jour se lève,
Mon supplice est éternel.
Je lègue au monde ; sans femme ni enfant.
Tout mon savoir, mon testament.
Au nom des nôtres, au nom des tiens.
J'incline vers l"hérésie de Caïn.
Au nom des nôtres, protège les miens
Par ce sacrifice, Protège les miens.
Briser ses os
De mes mains mortes et froides
À qui la faute.
Pardonnez-moi.
De mes mains mortes et froide
Pardonnez moi
Le mal est fait, je le regarde en face.
Ce jour est là et la douleur se joue de moi.
Le mal est fait, je le regarde en face
Ce jour est là, nos destins entre mes doigts.
J"ai vu le feu dans ses yeux,
Puis son regard vide, sans aveux.
Je savoure cet instant funeste.
Le diable au corps, la mort me guette.
Je lègue au monde; sans femme ni enfant.
Toute ma richesse, mon châtiment.
Au nom des nôtres, au nom des tiens.
J'incline vers l"hérésie de Caïn.
Au nom des nôtres,
par ce sacrifice, Protèges les miens.
Briser ses os
De mes mains mortes et froides
À qui la faute.
Pardonnez-moi.