La pâleur de nos âmes obscènes,
De ta chair m'obsède
Ne me touche pas,
Seul moi en ai le droit
Je te déchire et te murmure
"Ne hurle pas".
Tes lèvres bleutées
Sont cousues par l'effroi
Emmurée dans ton monde,
Pas un seul son ne sortira
Tes ongles déchirent le sol
Je te saigne et tu crèves comme dans mes rêves
Si je te serre contre moi
C'est pour sentir tes sanglots
Les horreurs de nos désastres
Se sont enfin chevauchés
Mes mais agressent ton corsage,
Sous ton sein blanc je m'y repose
Je déchire ton costume
Et tu supplies la vie de te garder
Ta peau se déchire sous mes doigts.
D'un regard dépassé
je te contemple avant de m'effacer
Nouvelle divinitée
Par la vengeance et par l'envie,
Tu termineras ce que j'ai commencé
De ta chair m'obsède
Ne me touche pas,
Seul moi en ai le droit
Je te déchire et te murmure
"Ne hurle pas".
Tes lèvres bleutées
Sont cousues par l'effroi
Emmurée dans ton monde,
Pas un seul son ne sortira
Tes ongles déchirent le sol
Je te saigne et tu crèves comme dans mes rêves
Si je te serre contre moi
C'est pour sentir tes sanglots
Les horreurs de nos désastres
Se sont enfin chevauchés
Mes mais agressent ton corsage,
Sous ton sein blanc je m'y repose
Je déchire ton costume
Et tu supplies la vie de te garder
Ta peau se déchire sous mes doigts.
D'un regard dépassé
je te contemple avant de m'effacer
Nouvelle divinitée
Par la vengeance et par l'envie,
Tu termineras ce que j'ai commencé