A force de courir, je n'ai rien, je n'ai rien vu venir!
Je n'ai rien vu venir! Je n'ai rien vu venir!
A force, à force de courir...
Rien, pas même le moindre petit pressentiment
Je vivais trop vite pour en prendre le temps
Dompter et ??? une vie de forcené
Qui ne m'a jamais appris qu'à voir le bout de mon nez.
Je n'ai rien vu venir! Je n'ai rien vu venir!
Peu à peu le capitalisme a pris le pas
Sur le partage, le plaisir ou le bien-être de soi
Toujours plus, toujours plus vite, toujours plus haut
Encore plus, et souvent bien plus qu'il n'en faut.
Mais à force de courir, je n'ai rien vu, rien senti venir
Il fallait bien un jour en finir, enfin pouvoir s'arrêter de subir
Mais à force de courir, je n'ai rien vu passer, je voudrais tant recommencer
J'ai trop donné pour cette pute de société
Mais aujourd'hui, il est trop tard pour regretter
Trop tard pour regretter, trop tard pour regretter, trop tard pour regretter.
Et pourtant plus d'une fois, j'aurais vraiment pu éviter ça
Mais moi, aveuglé par ce qu'on voulait bien me laisser voir
Il a fallu que je me laisse avoir.
Mais à force de courir, je n'ai rien vu, rien senti venir
Il fallait bien un jour en finir, enfin pouvoir s'arrêter de subir
Mais à force de courir, je n'ai rien vu passer, je voudrais tant recommencer
J'ai trop donné pour cette pute de société
Mais aujourd'hui, il est trop tard pour regretter
Trop tard pour regretter, trop tard pour regretter, trop tard pour regretter.
Trop tard! Trop tard! Trop tard pour regretter!
J'aurais pourtant tant voulu lui faire payer
J'aurais pourtant tant voulu au moins lui rendre la monnaie
Et si je n'ai plus qu'une seule chose à dire:
Arrêtez! Arrêtez! Arrêtez de courir!
Arrêtez! Arrêtez! Arrêtez de courir!
Je n'ai rien vu venir! Je n'ai rien vu venir!
A force, à force de courir...
Rien, pas même le moindre petit pressentiment
Je vivais trop vite pour en prendre le temps
Dompter et ??? une vie de forcené
Qui ne m'a jamais appris qu'à voir le bout de mon nez.
Je n'ai rien vu venir! Je n'ai rien vu venir!
Peu à peu le capitalisme a pris le pas
Sur le partage, le plaisir ou le bien-être de soi
Toujours plus, toujours plus vite, toujours plus haut
Encore plus, et souvent bien plus qu'il n'en faut.
Mais à force de courir, je n'ai rien vu, rien senti venir
Il fallait bien un jour en finir, enfin pouvoir s'arrêter de subir
Mais à force de courir, je n'ai rien vu passer, je voudrais tant recommencer
J'ai trop donné pour cette pute de société
Mais aujourd'hui, il est trop tard pour regretter
Trop tard pour regretter, trop tard pour regretter, trop tard pour regretter.
Et pourtant plus d'une fois, j'aurais vraiment pu éviter ça
Mais moi, aveuglé par ce qu'on voulait bien me laisser voir
Il a fallu que je me laisse avoir.
Mais à force de courir, je n'ai rien vu, rien senti venir
Il fallait bien un jour en finir, enfin pouvoir s'arrêter de subir
Mais à force de courir, je n'ai rien vu passer, je voudrais tant recommencer
J'ai trop donné pour cette pute de société
Mais aujourd'hui, il est trop tard pour regretter
Trop tard pour regretter, trop tard pour regretter, trop tard pour regretter.
Trop tard! Trop tard! Trop tard pour regretter!
J'aurais pourtant tant voulu lui faire payer
J'aurais pourtant tant voulu au moins lui rendre la monnaie
Et si je n'ai plus qu'une seule chose à dire:
Arrêtez! Arrêtez! Arrêtez de courir!
Arrêtez! Arrêtez! Arrêtez de courir!