Refrain (2x): Comment pourrais-je tracer un trait sur tout c'que l'on a vécu. Comment retrouver la paix dans la tourmente de ces avenues.
On était 5 on avait rien ou plutôt on avait que nous.
Une poignée de rêves et un monde qui veut pas de nous.
Alors on brûle cette c***nne de vie par les deux bouts.
C'est grâce à mes soces que j'suis toujours debout.
A la télé ils parlent de nous dans leurs débats.
Mais pour piger, il faut l'avoir vécu dès le début.
Livrés à nous même, on a formé nos propres familles,
même si les propos varient, le topo reste pareil.
A travers les années que je regarde à droite ou à gauche,
ils y en a qui manquent dans les rangs, mais je vois toujours les mêmes soces.
La rue nous berce mais ces avenues nous brisent.
Tout ce béton nous baise et son vice nous canalise.
Refrain (2x)
On était 5, aujourd'hui on est plus que 4.
Faut faire le deuil, c'est se que me répète mon psychiatre.
Comment tourner la page, comment trouver le courage de lâcher prise et de toucher le fond sur naufrage.
Loin des regards je me retrouve à pleurer ton absence,
mais rien peut transparaître dans ma nouvelle résidence. Quand on les dérange, c'est ici qu'ils nous rangent. Derrière ces barreaux, la c**pabilité me ronge. Si j'avais fermé ma gueule, ravaler ma fierté, il y aurait pas eu d'embrouilles et tu serais encore sur tes deux pieds. Mais comme d'hab j'l'ai ouvert et comme d'hab tu m'as couvert. A cause de mon orgueil, tout le monde en a souffert. Putain ce que tu me manques, nos souvenirs me hantent. A cause de moi, tes rêves et tes espoirs se fragmentent. Ils disent "Les meilleurs partent toujours les premiers" alors on se voit dans une éternité, je serais dans les derniers.
Refrain (3x)
On était 5 on avait rien ou plutôt on avait que nous.
Une poignée de rêves et un monde qui veut pas de nous.
Alors on brûle cette c***nne de vie par les deux bouts.
C'est grâce à mes soces que j'suis toujours debout.
A la télé ils parlent de nous dans leurs débats.
Mais pour piger, il faut l'avoir vécu dès le début.
Livrés à nous même, on a formé nos propres familles,
même si les propos varient, le topo reste pareil.
A travers les années que je regarde à droite ou à gauche,
ils y en a qui manquent dans les rangs, mais je vois toujours les mêmes soces.
La rue nous berce mais ces avenues nous brisent.
Tout ce béton nous baise et son vice nous canalise.
Refrain (2x)
On était 5, aujourd'hui on est plus que 4.
Faut faire le deuil, c'est se que me répète mon psychiatre.
Comment tourner la page, comment trouver le courage de lâcher prise et de toucher le fond sur naufrage.
Loin des regards je me retrouve à pleurer ton absence,
mais rien peut transparaître dans ma nouvelle résidence. Quand on les dérange, c'est ici qu'ils nous rangent. Derrière ces barreaux, la c**pabilité me ronge. Si j'avais fermé ma gueule, ravaler ma fierté, il y aurait pas eu d'embrouilles et tu serais encore sur tes deux pieds. Mais comme d'hab j'l'ai ouvert et comme d'hab tu m'as couvert. A cause de mon orgueil, tout le monde en a souffert. Putain ce que tu me manques, nos souvenirs me hantent. A cause de moi, tes rêves et tes espoirs se fragmentent. Ils disent "Les meilleurs partent toujours les premiers" alors on se voit dans une éternité, je serais dans les derniers.
Refrain (3x)