(N. BIROTHEAU - X. COUDERC /SPOOK And The Guay)
Oula ! Déjà 17 heures et j'ai pas avancé d'un pas
Le sampler veut rien savoir et le stylo n'écrit pas
J'ai cassé deux cordes, l'ordi m'a planté trois fois
Une journée inutile et la nuit arrive à grand pas
Alors à situation pénible, réaction incorrigible
Evidemment prévisible et pourtant irrépressible
Une puissante hormone distillée dans mon cerveau enfiévré
Atteint mes neurones qui décodent : " Ce soir, au taquet ! "
OK ! Les machines éteintes et direct dans la salle de bains
Je prends ma douche, me rase, me brosse les dents tout en même temps et d'une seule main
De l'autre je sélectionne un méchant CD qui va bien
Puis des habits tout neufs, appeler les collègues et enfin...
Au taquet, au taquet
Comme une jolie soirée d'été
Au taquet, au taquet
C'est parfait !
On est là, on est là
On veut des sourires jusque là
Ecoute moi et suis-moi
La nuit n'en finira pas
Lever à 6h et rencard au local à 7
Départ à 8h et comme on dit : " pas de tête ! "
Au moins deux ont fait la fête et même un qui s'est pas couché
600 longs kilomètres et Rhouïa fait ses mots croisés
A l'arrivée nous attend le traditionnel taboulé
Suivi d'une balance à 100dB ça y est, on est réveillés
Interview Ferrarock, toujours au top, en effet
Et photo posée "avec les instruments s'il vous plait"
Puis planqués à l'entrée pour voir le public arriver
Et déjà André Naline monte à point pour nous échauffer
Ca y est c'est l'heure, on est à fond et on va rien lâcher,
Une spéciale dédicace pour toutes les salles surchauffées
Refrain
Des tentes un peu partout, un vrai camping municipal
Des chapiteaux et des buvettes : non, c'est un festival
Une seule caravane pour la régie générale
Et un maximum de bénévoles avec une patate infernale
Qu'il est bon d'occuper un petit coin dans sa ville
Et d'y bâtir une cité, un royaume, un espace, une île
Mais ici pas de Robinson : des Vendredis et pour marraine
La fée de ceux qui sont venus pour planter une graine
Travaille tout le jour dors cinq heures et reste d'attaque
Il faut afficher, poser des barrières et creuser des tranchées
Signaliser, placer des canisses et si jamais tu craques
Passe au clando, on décompresse et on met sa tournée
Refrain
J'aime quand ma ville se déchaîne
Quand l'envie de faire la fête bouillonne dans toutes les veines
J'aime quand les gens se laissent aller
Sans mauvais speed, sans arrière-pensées
J'aime quand ma ville se déchaîne
Quand les verres s'entrechoquent et que les rires se promènent
J'aime quand ma ville est enfiévrée
Par le désir de vivre et de bouger
Lorsque la foule se mélange et danse sur le même pied
Woï, Woï, la dynamique est lancée
C'est des sourires automatiques, c'est de la bonne humeur en pagaille
Tout le monde se lâche pour de bon sans plus faire de détail
Oula ! Déjà 17 heures et j'ai pas avancé d'un pas
Le sampler veut rien savoir et le stylo n'écrit pas
J'ai cassé deux cordes, l'ordi m'a planté trois fois
Une journée inutile et la nuit arrive à grand pas
Alors à situation pénible, réaction incorrigible
Evidemment prévisible et pourtant irrépressible
Une puissante hormone distillée dans mon cerveau enfiévré
Atteint mes neurones qui décodent : " Ce soir, au taquet ! "
OK ! Les machines éteintes et direct dans la salle de bains
Je prends ma douche, me rase, me brosse les dents tout en même temps et d'une seule main
De l'autre je sélectionne un méchant CD qui va bien
Puis des habits tout neufs, appeler les collègues et enfin...
Au taquet, au taquet
Comme une jolie soirée d'été
Au taquet, au taquet
C'est parfait !
On est là, on est là
On veut des sourires jusque là
Ecoute moi et suis-moi
La nuit n'en finira pas
Lever à 6h et rencard au local à 7
Départ à 8h et comme on dit : " pas de tête ! "
Au moins deux ont fait la fête et même un qui s'est pas couché
600 longs kilomètres et Rhouïa fait ses mots croisés
A l'arrivée nous attend le traditionnel taboulé
Suivi d'une balance à 100dB ça y est, on est réveillés
Interview Ferrarock, toujours au top, en effet
Et photo posée "avec les instruments s'il vous plait"
Puis planqués à l'entrée pour voir le public arriver
Et déjà André Naline monte à point pour nous échauffer
Ca y est c'est l'heure, on est à fond et on va rien lâcher,
Une spéciale dédicace pour toutes les salles surchauffées
Refrain
Des tentes un peu partout, un vrai camping municipal
Des chapiteaux et des buvettes : non, c'est un festival
Une seule caravane pour la régie générale
Et un maximum de bénévoles avec une patate infernale
Qu'il est bon d'occuper un petit coin dans sa ville
Et d'y bâtir une cité, un royaume, un espace, une île
Mais ici pas de Robinson : des Vendredis et pour marraine
La fée de ceux qui sont venus pour planter une graine
Travaille tout le jour dors cinq heures et reste d'attaque
Il faut afficher, poser des barrières et creuser des tranchées
Signaliser, placer des canisses et si jamais tu craques
Passe au clando, on décompresse et on met sa tournée
Refrain
J'aime quand ma ville se déchaîne
Quand l'envie de faire la fête bouillonne dans toutes les veines
J'aime quand les gens se laissent aller
Sans mauvais speed, sans arrière-pensées
J'aime quand ma ville se déchaîne
Quand les verres s'entrechoquent et que les rires se promènent
J'aime quand ma ville est enfiévrée
Par le désir de vivre et de bouger
Lorsque la foule se mélange et danse sur le même pied
Woï, Woï, la dynamique est lancée
C'est des sourires automatiques, c'est de la bonne humeur en pagaille
Tout le monde se lâche pour de bon sans plus faire de détail