Tel un spectre errant sous l'aile de la nuit
En ces lieux éternels où s'estompe la foi misérable
Pénétrèrent les fragments de mon être
Ma seule étoile est morte - et mon luth constellé
Porte le soleil noir de la mélancolie (Newal)
Maudissant ces chairs mortelles
J'ai franchi le portail lointain
Enlacé par les arbres tristes
L'oeil nocturne ma seule lumière
Une larme s'échappe de sa paupière
Allant poser un peu d'espoir
Sur la toile céleste qu'est ce triste tableau noir
Je suis le pauvre mendiant qui regarde le ciel
Et le mort prisonnier libre de ses chaînes
J'ai plongé au profond des ténèbres
Ne laissant déerrière que des ombres
Et comme offrande aux cieux
Mon corps pendu à la lune
En ces lieux éternels où s'estompe la foi misérable
Pénétrèrent les fragments de mon être
Ma seule étoile est morte - et mon luth constellé
Porte le soleil noir de la mélancolie (Newal)
Maudissant ces chairs mortelles
J'ai franchi le portail lointain
Enlacé par les arbres tristes
L'oeil nocturne ma seule lumière
Une larme s'échappe de sa paupière
Allant poser un peu d'espoir
Sur la toile céleste qu'est ce triste tableau noir
Je suis le pauvre mendiant qui regarde le ciel
Et le mort prisonnier libre de ses chaînes
J'ai plongé au profond des ténèbres
Ne laissant déerrière que des ombres
Et comme offrande aux cieux
Mon corps pendu à la lune