Refrain:
Hier on était môme, regarde le temps passe vite
Même si tu me vois plus dans les halls, c'est toujours là que j'habite
Même si le quartier me colle à la peau, faut bien que je fasse ma vie
Crois pas que j'oublie, c'est le blues de la té-ci, j'ai le blues de la té-ci
Hier on était môme, regarde le temps passe vite
Même si tu me vois plus dans les halls, c'est toujours là que j'habite
Même si le quartier me colle à la peau, faut bien que je fasse ma vie
Crois pas que j'oublie, c'est le blues de la té-ci, j'ai le blues de la té-ci
Aketo:
C'est le blues de la tess qu'on écoute dans la caisse
Faux, j'ai perdu le goût de la fête
Pluess, j'ai plus toute ma tête
Pêter, j'ai bu toute la -teille
Poto ressent toute ma peine
Je patiente, j'attends le jour de la paye
Qu'on me f***e la paix, des gens manquent à l'appel
Je repense à la belle, l'époque à la tess
ça ma calarté, la tension à 2 H, tenir les murs, j'ai passé l'âge
ça date, vrai galèrien, j'étais là H 24
Puis j'ai déserté, j'ai coupé les bons fonds lonterrements
On se voit que pour les mariages ou les enterrements
Ceux qui me connaissent vraiment, si il a pas de principes, c'est qui les autres
C'est bonjour, au revoir si on se croise, on a rien à se dire
Qu'est-ce tu deviens ? Tu t'es marié ? T'as des gamins ?
T'as divorcé ? J'apprends qu'un tel et que d'autres ont pété les plombs, hein
Samuel est blanc mais ça doit pas effacer le reste
Faut bien qu'on fasse les diez même si la poisse a frappé le tiequs
Les frangins m'appellent Tcheck, bien connu dans ma ville
Ce soir c'est le blues des racailles comme disait Tonton David
Refrain:
Hier on était môme, regarde le temps passe vite
Même si tu me vois plus dans les halls, c'est toujours là que j'habite
Même si le quartier me colle à la peau, faut bien que je fasse ma vie
Crois pas que j'oublie, c'est le blues de la té-ci, j'ai le blues de la té-ci
Hier on était môme, regarde le temps passe vite
Même si tu me vois plus dans les halls, c'est toujours là que j'habite
Même si le quartier me colle à la peau, faut bien que je fasse ma vie
Crois pas que j'oublie, c'est le blues de la té-ci, j'ai le blues de la té-ci
Tunisiano:
Le blues de la tess, là où l'on crèche, certains sont partis trop tôt
Bosse en hass [...] sont devenu mes potos
Trop manquent à l'appel, purgent des peines longues
On finis sur une chaise longue, on déserte le tiequs pour une belle blonde
Comme des feuilles, les frères tombent, au sol ou écroués
Ghetto, tiers monde où l'on aimerait devoir échouer
Le quartier est une jolie laisse, cirer quelques clichés
Pour les faire balise, à part nous faire espérer, ils sont incapable de nous valoriser
Un grand n'importe quoi comme tirer sur les condés
Un cri sans voix comme un c***tail molotov sur les pompiers
Et des gamin capuchés, un drapeau blanc sur la machette
Tant d'amour à donner avec du gloss sur la gâchette
Aujourd'hui on se croise, les mérites tracent sans même se calculer
Hier on était barges, braves avec des saves à écouler
Et quand la vie nous met des tartes, en amitié nous échouons
Le destin mélange les cartes où nous jouons
Refrain:
Hier on était môme, regarde le temps passe vite
Même si tu me vois plus dans les halls, c'est toujours là que j'habite
Même si le quartier me colle à la peau, faut bien que je fasse ma vie
Crois pas que j'oublie, c'est le blues de la té-ci, j'ai le blues de la té-ci
Hier on était môme, regarde le temps passe vite
Même si tu me vois plus dans les halls, c'est toujours là que j'habite
Même si le quartier me colle à la peau, faut bien que je fasse ma vie
Crois pas que j'oublie, c'est le blues de la té-ci, j'ai le blues de la té-ci
Aketo: Est-ce que le quartier nous a construit ?
Tunisiano: Est-ce le quartier nous a porté ?
Aketo: Est-ce que le quartier nous a détruit ?
Tunisiano: Autant qu'il nous a apporté
Aketo: Est-ce que le quartier nous a punis ?
Tunisiano: Est-ce que le quartier nous a égaré ?
Aketo: Est-ce que le quartier nous a unis ?
Tunisiano:
Autant qu'il nous a séparé
Et rien à regretter entre les braves et les envieux
Aketo: Si il fallait recommencer
Tunisiano:
On ferait la même mais en mieux
Souvenirs inoubliables
Aketo: La pureté d'une amitié
Tunisiano: Si le tier-quar est une richesse
Aketo: Nous en sommes les héritiers
Refrain:
Hier on était môme, regarde le temps passe vite
Même si tu me vois plus dans les halls, c'est toujours là que j'habite
Même si le quartier me colle à la peau, faut bien que je fasse ma vie
Crois pas que j'oublie, c'est le blues de la té-ci, j'ai le blues de la té-ci
Hier on était môme, regarde le temps passe vite
Même si tu me vois plus dans les halls, c'est toujours là que j'habite
Même si le quartier me colle à la peau, faut bien que je fasse ma vie
Crois pas que j'oublie, c'est le blues de la té-ci, j'ai le blues de la té-ci
C'est le blues du quartier, du pavé
J'ai squatté les cages d'escaliers délabrés à tiser, bédave
Dépravé, aussi cramer, on sentait que c'était grave
Des années et des années
Et qu'est que j'ai gagné
C'est le blues du quartier, du pavé
J'ai squatté les cages d'escaliers délabrés à tiser, bédave
Dépravé, aussi cramer, on sentait que c'était grave
Des années et des années
Et qu'est que j'ai gagné
Hier on était môme, regarde le temps passe vite
Même si tu me vois plus dans les halls, c'est toujours là que j'habite
Même si le quartier me colle à la peau, faut bien que je fasse ma vie
Crois pas que j'oublie, c'est le blues de la té-ci, j'ai le blues de la té-ci
Hier on était môme, regarde le temps passe vite
Même si tu me vois plus dans les halls, c'est toujours là que j'habite
Même si le quartier me colle à la peau, faut bien que je fasse ma vie
Crois pas que j'oublie, c'est le blues de la té-ci, j'ai le blues de la té-ci
Aketo:
C'est le blues de la tess qu'on écoute dans la caisse
Faux, j'ai perdu le goût de la fête
Pluess, j'ai plus toute ma tête
Pêter, j'ai bu toute la -teille
Poto ressent toute ma peine
Je patiente, j'attends le jour de la paye
Qu'on me f***e la paix, des gens manquent à l'appel
Je repense à la belle, l'époque à la tess
ça ma calarté, la tension à 2 H, tenir les murs, j'ai passé l'âge
ça date, vrai galèrien, j'étais là H 24
Puis j'ai déserté, j'ai coupé les bons fonds lonterrements
On se voit que pour les mariages ou les enterrements
Ceux qui me connaissent vraiment, si il a pas de principes, c'est qui les autres
C'est bonjour, au revoir si on se croise, on a rien à se dire
Qu'est-ce tu deviens ? Tu t'es marié ? T'as des gamins ?
T'as divorcé ? J'apprends qu'un tel et que d'autres ont pété les plombs, hein
Samuel est blanc mais ça doit pas effacer le reste
Faut bien qu'on fasse les diez même si la poisse a frappé le tiequs
Les frangins m'appellent Tcheck, bien connu dans ma ville
Ce soir c'est le blues des racailles comme disait Tonton David
Refrain:
Hier on était môme, regarde le temps passe vite
Même si tu me vois plus dans les halls, c'est toujours là que j'habite
Même si le quartier me colle à la peau, faut bien que je fasse ma vie
Crois pas que j'oublie, c'est le blues de la té-ci, j'ai le blues de la té-ci
Hier on était môme, regarde le temps passe vite
Même si tu me vois plus dans les halls, c'est toujours là que j'habite
Même si le quartier me colle à la peau, faut bien que je fasse ma vie
Crois pas que j'oublie, c'est le blues de la té-ci, j'ai le blues de la té-ci
Tunisiano:
Le blues de la tess, là où l'on crèche, certains sont partis trop tôt
Bosse en hass [...] sont devenu mes potos
Trop manquent à l'appel, purgent des peines longues
On finis sur une chaise longue, on déserte le tiequs pour une belle blonde
Comme des feuilles, les frères tombent, au sol ou écroués
Ghetto, tiers monde où l'on aimerait devoir échouer
Le quartier est une jolie laisse, cirer quelques clichés
Pour les faire balise, à part nous faire espérer, ils sont incapable de nous valoriser
Un grand n'importe quoi comme tirer sur les condés
Un cri sans voix comme un c***tail molotov sur les pompiers
Et des gamin capuchés, un drapeau blanc sur la machette
Tant d'amour à donner avec du gloss sur la gâchette
Aujourd'hui on se croise, les mérites tracent sans même se calculer
Hier on était barges, braves avec des saves à écouler
Et quand la vie nous met des tartes, en amitié nous échouons
Le destin mélange les cartes où nous jouons
Refrain:
Hier on était môme, regarde le temps passe vite
Même si tu me vois plus dans les halls, c'est toujours là que j'habite
Même si le quartier me colle à la peau, faut bien que je fasse ma vie
Crois pas que j'oublie, c'est le blues de la té-ci, j'ai le blues de la té-ci
Hier on était môme, regarde le temps passe vite
Même si tu me vois plus dans les halls, c'est toujours là que j'habite
Même si le quartier me colle à la peau, faut bien que je fasse ma vie
Crois pas que j'oublie, c'est le blues de la té-ci, j'ai le blues de la té-ci
Aketo: Est-ce que le quartier nous a construit ?
Tunisiano: Est-ce le quartier nous a porté ?
Aketo: Est-ce que le quartier nous a détruit ?
Tunisiano: Autant qu'il nous a apporté
Aketo: Est-ce que le quartier nous a punis ?
Tunisiano: Est-ce que le quartier nous a égaré ?
Aketo: Est-ce que le quartier nous a unis ?
Tunisiano:
Autant qu'il nous a séparé
Et rien à regretter entre les braves et les envieux
Aketo: Si il fallait recommencer
Tunisiano:
On ferait la même mais en mieux
Souvenirs inoubliables
Aketo: La pureté d'une amitié
Tunisiano: Si le tier-quar est une richesse
Aketo: Nous en sommes les héritiers
Refrain:
Hier on était môme, regarde le temps passe vite
Même si tu me vois plus dans les halls, c'est toujours là que j'habite
Même si le quartier me colle à la peau, faut bien que je fasse ma vie
Crois pas que j'oublie, c'est le blues de la té-ci, j'ai le blues de la té-ci
Hier on était môme, regarde le temps passe vite
Même si tu me vois plus dans les halls, c'est toujours là que j'habite
Même si le quartier me colle à la peau, faut bien que je fasse ma vie
Crois pas que j'oublie, c'est le blues de la té-ci, j'ai le blues de la té-ci
C'est le blues du quartier, du pavé
J'ai squatté les cages d'escaliers délabrés à tiser, bédave
Dépravé, aussi cramer, on sentait que c'était grave
Des années et des années
Et qu'est que j'ai gagné
C'est le blues du quartier, du pavé
J'ai squatté les cages d'escaliers délabrés à tiser, bédave
Dépravé, aussi cramer, on sentait que c'était grave
Des années et des années
Et qu'est que j'ai gagné