Putain de chagrin qui s'balade dans la tête
Comme l'air de rien, qui s'envole de mes cigarettes
Dev'nir dans la nuit magicien et la faire disparaitre
Quand elle promène mon cœur dans le sien, comment ça s'arrête
Passant ma peine et ses yeux dans ma tête
Avoir ou être, comme l'étrange vaisseau qui m'emmène
Dans un ciel où tout s'en ira, booster les deux comas de comètes
Trainé par mon cœur qui se bat, comment ça s'arrête, tout ça !
Ailleurs tout ce qui traine de toi et moi, ces éclats
Ailleurs tout ce qui allait de soi, haut et bas
Ailleurs comme on laisse sa vieille douleur flotter au loin
Le chagrin s'en va, le chagrin s'en vient, je sers les poings
Putain d'matin, de semaines et d'années
C'est aérien, les lignes qu'on emprunte pour oublier,
Tous les corps qu'on ne retrouve pas, au fond des draps, des crashs, des tempêtes,
Et cette fanfare qui ne joue que toi, comment ça s'arrête, tout ça !
Ailleurs tout ce qui traine de toi et moi, ces éclats
Ailleurs tout ce qui allait de soi, haut et bas
Ailleurs comme on laisse sa vieille douleur flotter au loin
Le chagrin s'en va, le chagrin s'en vient, je sers les poings
Les choses de la vie, comme les vols de nuit finissent à l'envers
C'est comme ça, on part et ne revient pas, et on découvre le monde
Qu'on connait pas, pas comme ça
Tu vois, ailleurs, mon chagrin n'est plus le mien
Ailleurs tout ce qui traine de toi et moi, ces éclats
Ailleurs tout ce qui allait de soi, haut et bas
Ailleurs comme on laisse sa vieille douleur flotter au loin
Le chagrin s'en va, le chagrin s'en vient, je sers les poings...
Ailleurs comme on laisse sa vieille douleur flotter au loin
Le chagrin s'en va, le chagrin s'en vient, je sers les poings...
Comme l'air de rien, qui s'envole de mes cigarettes
Dev'nir dans la nuit magicien et la faire disparaitre
Quand elle promène mon cœur dans le sien, comment ça s'arrête
Passant ma peine et ses yeux dans ma tête
Avoir ou être, comme l'étrange vaisseau qui m'emmène
Dans un ciel où tout s'en ira, booster les deux comas de comètes
Trainé par mon cœur qui se bat, comment ça s'arrête, tout ça !
Ailleurs tout ce qui traine de toi et moi, ces éclats
Ailleurs tout ce qui allait de soi, haut et bas
Ailleurs comme on laisse sa vieille douleur flotter au loin
Le chagrin s'en va, le chagrin s'en vient, je sers les poings
Putain d'matin, de semaines et d'années
C'est aérien, les lignes qu'on emprunte pour oublier,
Tous les corps qu'on ne retrouve pas, au fond des draps, des crashs, des tempêtes,
Et cette fanfare qui ne joue que toi, comment ça s'arrête, tout ça !
Ailleurs tout ce qui traine de toi et moi, ces éclats
Ailleurs tout ce qui allait de soi, haut et bas
Ailleurs comme on laisse sa vieille douleur flotter au loin
Le chagrin s'en va, le chagrin s'en vient, je sers les poings
Les choses de la vie, comme les vols de nuit finissent à l'envers
C'est comme ça, on part et ne revient pas, et on découvre le monde
Qu'on connait pas, pas comme ça
Tu vois, ailleurs, mon chagrin n'est plus le mien
Ailleurs tout ce qui traine de toi et moi, ces éclats
Ailleurs tout ce qui allait de soi, haut et bas
Ailleurs comme on laisse sa vieille douleur flotter au loin
Le chagrin s'en va, le chagrin s'en vient, je sers les poings...
Ailleurs comme on laisse sa vieille douleur flotter au loin
Le chagrin s'en va, le chagrin s'en vient, je sers les poings...