Depuis toi, moins souvent
le hasard de pensé
vient me chatouiller le nez
j' t'ai tellement dis que toi
seule me connaissais vraiment
Mais moi je fais quoi moi
maintenant que tu as pris le vent.
Je m'accroche à tes places ces beaux en jupette.
Quelque rustine pour mon cœur d'athlète.
Je retrouve quelques vieux amies
Puis si je les aime plus autant tant pis.
Même si ce monde a un goût
Et que l'on s'attache
pour ne pas devenir fous.
Et que les gens s'aiment beaucoup trop pour être vrai.
De toute façon peu importe on ne s'aime pas on s'occupe pour oublier.
Quand le monde s'endort
Moi je compte le peu de mes rêves,
qui ne sont pas encore morts.
Chaque nuit je sombre un peu plus vite.
Faite que je parts avant que plus rien ne ma habite.
Plus je les entends s'écouter
Plus je regrette
Que tu es fait ton temps sur ma planète.
Les gens sont faux c'est toujours le même cinéma
Écoute voir que je te raconte « et sur tout tes toits. »
Et au fond t'était bien plus qu'une raison de plaire
t'était devenu mon seule contacte sur terre
Je crois que je suis mort
j'aimerai en avoir le cœur nette
quelqu'un voudrais t-il bien pincé mon squelette.
Au chaud, dans ce nombril commun
J'en ai oublier y avais pour tout le monde entier.
Elle avait de la gueule notre bulle de place
avant que sous ta peau tu ne me remplace
en quelque année de vie j'ai mangé tout mon pain de mis.
T'as mis une croix sur notre affaire,
le doigt sur l'histoire de la vie
au fond on a un grand amour puis des petits.
Même si ce monde a un goût
Et que l'on s'attache
pour ne pas devenir fous.
Et que les gens s'aiment beaucoup trop pour être vrai.
De toute façon peu importe on ne s'aime pas on s'occupe pour oublier.
Quand le monde s'endort
Moi je compte le peu de mes rêves,
qui ne sont pas encore morts.
Chaque nuit je sombre un peu plus vite.
Faite que je parts avant que plus rien ne ma habite.
le hasard de pensé
vient me chatouiller le nez
j' t'ai tellement dis que toi
seule me connaissais vraiment
Mais moi je fais quoi moi
maintenant que tu as pris le vent.
Je m'accroche à tes places ces beaux en jupette.
Quelque rustine pour mon cœur d'athlète.
Je retrouve quelques vieux amies
Puis si je les aime plus autant tant pis.
Même si ce monde a un goût
Et que l'on s'attache
pour ne pas devenir fous.
Et que les gens s'aiment beaucoup trop pour être vrai.
De toute façon peu importe on ne s'aime pas on s'occupe pour oublier.
Quand le monde s'endort
Moi je compte le peu de mes rêves,
qui ne sont pas encore morts.
Chaque nuit je sombre un peu plus vite.
Faite que je parts avant que plus rien ne ma habite.
Plus je les entends s'écouter
Plus je regrette
Que tu es fait ton temps sur ma planète.
Les gens sont faux c'est toujours le même cinéma
Écoute voir que je te raconte « et sur tout tes toits. »
Et au fond t'était bien plus qu'une raison de plaire
t'était devenu mon seule contacte sur terre
Je crois que je suis mort
j'aimerai en avoir le cœur nette
quelqu'un voudrais t-il bien pincé mon squelette.
Au chaud, dans ce nombril commun
J'en ai oublier y avais pour tout le monde entier.
Elle avait de la gueule notre bulle de place
avant que sous ta peau tu ne me remplace
en quelque année de vie j'ai mangé tout mon pain de mis.
T'as mis une croix sur notre affaire,
le doigt sur l'histoire de la vie
au fond on a un grand amour puis des petits.
Même si ce monde a un goût
Et que l'on s'attache
pour ne pas devenir fous.
Et que les gens s'aiment beaucoup trop pour être vrai.
De toute façon peu importe on ne s'aime pas on s'occupe pour oublier.
Quand le monde s'endort
Moi je compte le peu de mes rêves,
qui ne sont pas encore morts.
Chaque nuit je sombre un peu plus vite.
Faite que je parts avant que plus rien ne ma habite.