[Couplet 1] :
Parfois la vie nous pique au foie, on voudrait les nôtres immortels
Combien se sont barrés sans dire au revoir à tire d'ailes
Combien manquent à l'appel et laissent un vide quand vient le soir
Combien de nids jadis douillets aujourd'hui restent froids
Combien de temps il nous a vraiment fallu pour y croire
Même à présent on l'sait seulement on s'y fait toujours pas
Combien de gens partis trop tôt sans qu'on ai pu leur dire
Qu'on les aimait vraiment sans honte et sans se retenir
Combien de projets d'avenir ont finis shootés en plein ciel
Combien de sonneries la nuit et autant de mauvais réveils
Ce jour où on nous dit : « Écoute, il faut que tu sois fort »
Ce jour qui crucifie les coeurs fait de pierre ou en or
Ce jour qu'on maudit tous et qui, chaque année nous rappelle
Que le temps n'efface rien seulement voilà, on vit avec
On se console comme on peut, alors souvent on lève la tête
Et on vise les étoiles en espérant Le reconnaître
[Refrain] :
Et parfois dans le ciel quand le jour s'est enfui
Y'a un ange qui s'éveille, une étoile qui scintille
Quelqu'un qui nous sourit, qui sur nos vies veille
On peut sentir d'ici, le vent que font ses ailes
Et parfois dans le ciel lorsque rugit la nuit
Un souvenir s'élève, droit vers l'infini
Un astre s'illumine, comme un clin d'œil céleste
Sa caresse sur nos joues, la douceur de ses ailes
[Couplet 2] :
Combien de pères, de mères se sont vus de leur chair délestés
Combien de gerbes dans les virages trop raides et trop arrosés ?
Combien de frères, de soeurs, de fleurs devant des corps alités
Combien de battements, subitement, se sont arrêtés ?
Et toutes ces belles phrases censées consoler, quand c'est
Au fonds de nous, mais que la peine nous empêche d'écouter
Frappés par la douleur, combien se sont effondrés ?
Entre colère et tristesse, parfois c'est dur de se relever
Qu'on s'y attende ou pas, quand ça arrive, ça gifle
On se demande pourquoi c'est toujours les bons qui tirent l'as de pique
On garde en tête ces moments qui nous font sourire seuls
Lorsque le manque est trop fort, y'a plus que ça qui nous fait tenir
Alors on fait le tri et on garde le meilleur
On est bien à l'abri dans un tiroir caché au fond du coeur
Et grâce à ça, on s'ra jamais tout seul
Jamais en pannes dans ces moments où il y'a personne pour nous remettre en scelle
On sait pourtant que tout ici fini comme ça
Y'a toujours un départ, seulement y'a des envols qu'on n'admet pas
On se surprend parfois à relever la tête
À fixer les étoiles en cherchant à Le reconnaître
[Refrain] :
Et parfois dans le ciel quand le jour s'est enfui
Y'a un ange qui s'éveille, une étoile qui scintille
Quelqu'un qui nous sourit, qui sur nos vies veille
On peut sentir d'ici, le vent que font ses ailes
Et parfois dans le ciel lorsque rugit la nuit
Un souvenir s'élève, droit vers l'infini
Un astre s'illumine, comme un clin d'oeil céleste
Se caresse sur nos joues, la douceur de ses ailes
Parfois la vie nous pique au foie, on voudrait les nôtres immortels
Combien se sont barrés sans dire au revoir à tire d'ailes
Combien manquent à l'appel et laissent un vide quand vient le soir
Combien de nids jadis douillets aujourd'hui restent froids
Combien de temps il nous a vraiment fallu pour y croire
Même à présent on l'sait seulement on s'y fait toujours pas
Combien de gens partis trop tôt sans qu'on ai pu leur dire
Qu'on les aimait vraiment sans honte et sans se retenir
Combien de projets d'avenir ont finis shootés en plein ciel
Combien de sonneries la nuit et autant de mauvais réveils
Ce jour où on nous dit : « Écoute, il faut que tu sois fort »
Ce jour qui crucifie les coeurs fait de pierre ou en or
Ce jour qu'on maudit tous et qui, chaque année nous rappelle
Que le temps n'efface rien seulement voilà, on vit avec
On se console comme on peut, alors souvent on lève la tête
Et on vise les étoiles en espérant Le reconnaître
[Refrain] :
Et parfois dans le ciel quand le jour s'est enfui
Y'a un ange qui s'éveille, une étoile qui scintille
Quelqu'un qui nous sourit, qui sur nos vies veille
On peut sentir d'ici, le vent que font ses ailes
Et parfois dans le ciel lorsque rugit la nuit
Un souvenir s'élève, droit vers l'infini
Un astre s'illumine, comme un clin d'œil céleste
Sa caresse sur nos joues, la douceur de ses ailes
[Couplet 2] :
Combien de pères, de mères se sont vus de leur chair délestés
Combien de gerbes dans les virages trop raides et trop arrosés ?
Combien de frères, de soeurs, de fleurs devant des corps alités
Combien de battements, subitement, se sont arrêtés ?
Et toutes ces belles phrases censées consoler, quand c'est
Au fonds de nous, mais que la peine nous empêche d'écouter
Frappés par la douleur, combien se sont effondrés ?
Entre colère et tristesse, parfois c'est dur de se relever
Qu'on s'y attende ou pas, quand ça arrive, ça gifle
On se demande pourquoi c'est toujours les bons qui tirent l'as de pique
On garde en tête ces moments qui nous font sourire seuls
Lorsque le manque est trop fort, y'a plus que ça qui nous fait tenir
Alors on fait le tri et on garde le meilleur
On est bien à l'abri dans un tiroir caché au fond du coeur
Et grâce à ça, on s'ra jamais tout seul
Jamais en pannes dans ces moments où il y'a personne pour nous remettre en scelle
On sait pourtant que tout ici fini comme ça
Y'a toujours un départ, seulement y'a des envols qu'on n'admet pas
On se surprend parfois à relever la tête
À fixer les étoiles en cherchant à Le reconnaître
[Refrain] :
Et parfois dans le ciel quand le jour s'est enfui
Y'a un ange qui s'éveille, une étoile qui scintille
Quelqu'un qui nous sourit, qui sur nos vies veille
On peut sentir d'ici, le vent que font ses ailes
Et parfois dans le ciel lorsque rugit la nuit
Un souvenir s'élève, droit vers l'infini
Un astre s'illumine, comme un clin d'oeil céleste
Se caresse sur nos joues, la douceur de ses ailes