Je travaille à ma solitude,
J'aspire à l'épaisseur des pierres,
A la bure, à la toile rude,
La croix simple et le monastère
Des murs en crépi blanc et nus
Pour apprivoiser la lumière
Et débusquer cet inconnu
Que je suis, loin de vos litières
Femme, adieu, femme adieu,
Je suis tout à Dieu,
Adieu
Du silence sur du silence
Et de la musique sacrée,
Des plains-chants dont la résonance
Aura l'écho de mon secret
Ai-je les qualités idoines
Pour marcher en baissant les yeux ?
Aurai-je un jour le moi du moine
Au service du dernier Dieu ?
Femme, adieu, femme, adieu,
Je t'aimais,
Désormais
J'appartiens à Dieu
J'ai la tentation du cloître,
J'ai la tentation de Dieu,
Passer par la porte étroite,
Juste en baissant les yeux,
Par les allées de prières,
Par les arbres pleins d'oiseaux,
Envahi par la lumière, la lumière d'en haut
Femme, adieu, femme, adieu,
Je t'aimais,
Désormais
Je te dis adieu
Femme, adieu,
Sache que
Désormais
J'appartiens à Dieu.
J'aspire à l'épaisseur des pierres,
A la bure, à la toile rude,
La croix simple et le monastère
Des murs en crépi blanc et nus
Pour apprivoiser la lumière
Et débusquer cet inconnu
Que je suis, loin de vos litières
Femme, adieu, femme adieu,
Je suis tout à Dieu,
Adieu
Du silence sur du silence
Et de la musique sacrée,
Des plains-chants dont la résonance
Aura l'écho de mon secret
Ai-je les qualités idoines
Pour marcher en baissant les yeux ?
Aurai-je un jour le moi du moine
Au service du dernier Dieu ?
Femme, adieu, femme, adieu,
Je t'aimais,
Désormais
J'appartiens à Dieu
J'ai la tentation du cloître,
J'ai la tentation de Dieu,
Passer par la porte étroite,
Juste en baissant les yeux,
Par les allées de prières,
Par les arbres pleins d'oiseaux,
Envahi par la lumière, la lumière d'en haut
Femme, adieu, femme, adieu,
Je t'aimais,
Désormais
Je te dis adieu
Femme, adieu,
Sache que
Désormais
J'appartiens à Dieu.