Une grimace sur la face, j'erre dans la France sale
Seul je trinque et rampe dans la campagne médiévale
Je grave ma solitude à renfort de champagne
Grands coups de fiasques qui me tombent sur cette pierre froide
Gueule de bois inspiratrice
De cafard noir conspiratrice
Pour seul sens mon mauvais goût
D'une poésie d'avant-garde d'égout
Mon esprit jeté au fond d'un puit
Sur ces champs stagne la mélancolie
Je m'abreuve de mes larmes qui m'inspirent
A mal écrire des pages de pire en pire
Et ma corneille craille de plus fort
Absinthe, hallucine spirituelle
Je bois des corbeaux pleins de fiels
Et ma corneille craille de plus en plus fort
Des milliers de corbeaux hallucinés
Contre cette p***** d'humanité
D'un état fin dix-huitième je m'arrête
Dans ma tête volent de sombres bêtes
Je m'évade dans ma prison sans couleurs
Et profite alors pour écrire sur la douleur
Consolé par l'aura des rats de la peste
Seule ma feuille et ma plume restent
Ô quatorzième, belles encres tu gaspilles
J'abandonne cet écrit, me lève file...
Mon mal de crâne compose cette partition
Des notes mortes, périmées d'avant-garde
Pensées nobles d'écrivain amoureux
Qui s'abreuve d'aigre vin de *******
S'enivre de sales vagins moyenâgeux
D'un état vingt et unième, je m'enfuis...
Seul je trinque et rampe dans la campagne médiévale
Je grave ma solitude à renfort de champagne
Grands coups de fiasques qui me tombent sur cette pierre froide
Gueule de bois inspiratrice
De cafard noir conspiratrice
Pour seul sens mon mauvais goût
D'une poésie d'avant-garde d'égout
Mon esprit jeté au fond d'un puit
Sur ces champs stagne la mélancolie
Je m'abreuve de mes larmes qui m'inspirent
A mal écrire des pages de pire en pire
Et ma corneille craille de plus fort
Absinthe, hallucine spirituelle
Je bois des corbeaux pleins de fiels
Et ma corneille craille de plus en plus fort
Des milliers de corbeaux hallucinés
Contre cette p***** d'humanité
D'un état fin dix-huitième je m'arrête
Dans ma tête volent de sombres bêtes
Je m'évade dans ma prison sans couleurs
Et profite alors pour écrire sur la douleur
Consolé par l'aura des rats de la peste
Seule ma feuille et ma plume restent
Ô quatorzième, belles encres tu gaspilles
J'abandonne cet écrit, me lève file...
Mon mal de crâne compose cette partition
Des notes mortes, périmées d'avant-garde
Pensées nobles d'écrivain amoureux
Qui s'abreuve d'aigre vin de *******
S'enivre de sales vagins moyenâgeux
D'un état vingt et unième, je m'enfuis...