Comme un éclat de rire
vient consoler tristesse
comme un souffle avenir
vient raviver les braises
comme un parfum de souffre
qui fait naître la flamme,
jeunesse lève-toi
contre la vie qui va qui vient
puis qui s'éteint
contre l'amour qu'on prend qu'on tient
mais qui tient pas,
contre la trace qui s'efface
au derrière de soi,
jeunesse lève-toi.
Moi contre ton épaule
je repars à la lutte
contre les gravités qui nous mènent à la chute,
pour faire du bruit encore
à réveiller les morts,
pour redonner éclat
à l'émeraude en toi ;
Pour rendre au crépuscule
la beauté des aurores,
dis-moi qu'on brûle encore,
dis-moi que brûle encore cet espoir que tu tiens
parce que tu n'en sais rien de la fougue et du feu
que je vois dans tes yeux...
Jeunesse lève-toi !
Quand tu vois comme on pleure
à chaque rue sa peine,
comment on nous éc--ure
perfusion dans la veine,
à l'ombre du faisceau
mon vieux tu m'auras plus !
Ami dis quand viendra la crue ?
Contre courant toujours sont les contre-cultures,
au gré des émissions leurs gueules de vide-ordures...
Puisque c'en est sonné la mort du politique,
l'heure est aux rêves,
aux utopiques...
Pour faire nos ADN
un peu plus équitables,
pour faire de la poussière
un peu plus que du sable,
dans ce triste pays
tu sais un jour ou l'autre
faudra tuer le père,
faire entendre ta voix !
Jeunesse lève-toi.
Au clair de lune indien
toujours surfer la vague
à l'âme
au creux des reins
faut aiguiser la lame,
puisqu'ici il n'y a qu'au combat qu'on est libre
de ton triste sommeil je t'en prie libère-toi ;
Puisqu'ici il faut faire des bilans et du chiffre
sont nos amours toujours au bord du précipice,
n'entends-tu pas ce soir chanter le chant des morts,
ne vois-tu pas le ciel à la portée des doigts ?
Jeunesse lève-toi.
Comme un éclat de rire
vient consoler tristesse,
comme un souffle avenir
vient raviver les braises,
comme un parfum de souffre
qui fait naître la flamme
quand plongé dans le gouffre on sait plus où est l'âme ;
jeunesse lève-toi
contre la vie qui va qui vient
puis qui nous perd,
contre l'amour qu'on prend qu'on tient
puis qu'on enterre,
contre la trace qui s'efface
au derrière de soi...
Jeunesse lève-toi !
vient consoler tristesse
comme un souffle avenir
vient raviver les braises
comme un parfum de souffre
qui fait naître la flamme,
jeunesse lève-toi
contre la vie qui va qui vient
puis qui s'éteint
contre l'amour qu'on prend qu'on tient
mais qui tient pas,
contre la trace qui s'efface
au derrière de soi,
jeunesse lève-toi.
Moi contre ton épaule
je repars à la lutte
contre les gravités qui nous mènent à la chute,
pour faire du bruit encore
à réveiller les morts,
pour redonner éclat
à l'émeraude en toi ;
Pour rendre au crépuscule
la beauté des aurores,
dis-moi qu'on brûle encore,
dis-moi que brûle encore cet espoir que tu tiens
parce que tu n'en sais rien de la fougue et du feu
que je vois dans tes yeux...
Jeunesse lève-toi !
Quand tu vois comme on pleure
à chaque rue sa peine,
comment on nous éc--ure
perfusion dans la veine,
à l'ombre du faisceau
mon vieux tu m'auras plus !
Ami dis quand viendra la crue ?
Contre courant toujours sont les contre-cultures,
au gré des émissions leurs gueules de vide-ordures...
Puisque c'en est sonné la mort du politique,
l'heure est aux rêves,
aux utopiques...
Pour faire nos ADN
un peu plus équitables,
pour faire de la poussière
un peu plus que du sable,
dans ce triste pays
tu sais un jour ou l'autre
faudra tuer le père,
faire entendre ta voix !
Jeunesse lève-toi.
Au clair de lune indien
toujours surfer la vague
à l'âme
au creux des reins
faut aiguiser la lame,
puisqu'ici il n'y a qu'au combat qu'on est libre
de ton triste sommeil je t'en prie libère-toi ;
Puisqu'ici il faut faire des bilans et du chiffre
sont nos amours toujours au bord du précipice,
n'entends-tu pas ce soir chanter le chant des morts,
ne vois-tu pas le ciel à la portée des doigts ?
Jeunesse lève-toi.
Comme un éclat de rire
vient consoler tristesse,
comme un souffle avenir
vient raviver les braises,
comme un parfum de souffre
qui fait naître la flamme
quand plongé dans le gouffre on sait plus où est l'âme ;
jeunesse lève-toi
contre la vie qui va qui vient
puis qui nous perd,
contre l'amour qu'on prend qu'on tient
puis qu'on enterre,
contre la trace qui s'efface
au derrière de soi...
Jeunesse lève-toi !