S'il croient que je vais me laisser crever la dalle pour leurs jolies gueules. Je ne vais pas attendre qu'ils veulent me donner la charité, ce qu'ils veulent, c'est ma peau, c'est que je me casse la gueule... en beauté. Mais je ne peux pas rester sous linceuil sans résister à la force en face de moi qui veut que je flaire. Faut que je bouge, que je développe un peu mon sens des affaires, au lieu d'atteindre le RMI, je préfère faire du ness-bi, j'apprendrai le ce-vi comme les autres l'avaient appris, comme Tapie. Quand je vois les Big Boss se faisant passer pour des anges, détourner la monnaie des gens impunément. Je me dis pourquoi pas moi, flics, avocats, juges, ministres profitent. Je veux aussi brasser du fric, je suis jeune. Je veux un compte blindé sans me faire gauler par les condés, eux-mêmes savent ce que c'est que le bizness. Il faut que je fasse gaffe à mes fesses, tous les pelés qu'ils ont coulés, ça m'a saoulée. Je change d'étendard, cette fois j'en ai marre d'être parmi les brûlés. Comment ça?
Les peaux de bananes ça blesse si tu glisses dessus, fils, coccyx fêlé, t'as plus de seufs refré fais ta maille. Le bizness illicite nécéssite que Rude boy sache réagir très vite.
Tocard tu te plains, mais voilà comment tu fais ton snessbi, y'en a marre de tous ces tocards qui se plaigent du bizness dans les té-ci. Tocard tu te plains mais voilà comment de droite tout comme de gauche. Certains partis piochent, fauchent dans les caisses et je paye pour alimenter leur bizness, je bosse et dans la té-ci par réflexe, chacun fait sa maille et se confesse au Dieu-tout-puissant du snessbi y'a de bons et de mauvais biz, fils. Gare aux dé-kis car l'instinct de survie devient primordial face aux bâtards.
Les peaux de bananes ça blesse si tu glisses dessus, ce-fi, coccis fêlé, Babylone t'a brisé, t'as plus d'seffé, par tes seufs tu p*****, qui a déjà présenté son trou-du-cul à la fouille? La lère-ga, la sère-mi, dans ta teté les embrouilles, écoute fils, dans la rue je n'ai plus le temps de calculer, je cours après la iallesse-ca. Je me casse la gueule pour apprendre à ché-mar face aux kisdés c'est la rhala.
Mieux vaut feinter lascar, direction le tié-quar, partout où c'est tagué, nique la police, à quoi sert la justice? Politique égale préjudice. Le système te baise fils, baise le système et son vice, tombe dans le précipice, nique les dé-kis.
Les peaux de bananes ça blesse si tu glisses dessus, fils, coccyx fêlé, t'as plus de seufs refré fais ta maille. Le bizness illicite nécéssite que Rude boy sache réagir très vite.
Rude boy se tape, Rude boy vend du s***, le bizness illicite nécessite que Rude boy sache réagir très vite, car qu'est-ce qui agite et contraint les lascars sinon le fric qui gravite aux alentours d'une bonne affaire.Gars, faut être prêt et très vite. Oh non! Pas de cas de conscience, j'avais pas de cas de conscience, ma conscience c'était mon ventre vide, c'était mes poches vides et quitte à paraître stupide, fallait jouer les oufs et faire preuve d'un sarcasme sordide, je kiffais le morbide, yes! J'ai appris à vivre en osmose avec la rue, en son sein rien n'y est facile, tout s'oppose, chacun prend la pose du me casse pas les c******* de rigueur, alors vivre avec les autres devient une psychose et les esprits s'ankylosent. Les gens marchent, se promènent, pourtant toi la rue est un problème. Tu n'y vois que des c***nnes, que des sales embrouilles qui ne valent même pas la peine que tu te casses les c*******, donc t'echaînes, tu souhaites partir loin du chant des sirènes. Mais est-ce que ça en vaut vraiment la peine?
Rares sont les politiciens, juristes, Big Boss qui bé-ton dans le précipice, ils ont le don d'esquiver, d'utiliser les enfants des cités commes des pions. Ca me les brise, zot ka prend trop moun pou couillon, telle est ma franchise, telle est ma devise, brisé, je brise le système qui divise le peuple et l'égare dans des ghettos de béton, tant les défavorisés n'ont pas d'autres moyens que de biznesser, l'art du biz c'est l'art de survivre. Lorsque tu ne peux travailler pour check les vivres, peuple des cités, des bas-quartiers fais ton biz, scrèd et a**ure tes arrières, le biz ça ne rapporte pas que des pépettes, frère. Les peaux de bananes ça blesse si tu glisses dessus, fils.
Les peaux de bananes ça blesse si tu glisses dessus, fils, coccyx fêlé, t'as plus de seufs refré fais ta maille. Le bizness illicite nécéssite que Rude boy sache réagir très vite.
Tocard tu te plains, mais voilà comment tu fais ton snessbi, y'en a marre de tous ces tocards qui se plaigent du bizness dans les té-ci. Tocard tu te plains mais voilà comment de droite tout comme de gauche. Certains partis piochent, fauchent dans les caisses et je paye pour alimenter leur bizness, je bosse et dans la té-ci par réflexe, chacun fait sa maille et se confesse au Dieu-tout-puissant du snessbi y'a de bons et de mauvais biz, fils. Gare aux dé-kis car l'instinct de survie devient primordial face aux bâtards.
Les peaux de bananes ça blesse si tu glisses dessus, ce-fi, coccis fêlé, Babylone t'a brisé, t'as plus d'seffé, par tes seufs tu p*****, qui a déjà présenté son trou-du-cul à la fouille? La lère-ga, la sère-mi, dans ta teté les embrouilles, écoute fils, dans la rue je n'ai plus le temps de calculer, je cours après la iallesse-ca. Je me casse la gueule pour apprendre à ché-mar face aux kisdés c'est la rhala.
Mieux vaut feinter lascar, direction le tié-quar, partout où c'est tagué, nique la police, à quoi sert la justice? Politique égale préjudice. Le système te baise fils, baise le système et son vice, tombe dans le précipice, nique les dé-kis.
Les peaux de bananes ça blesse si tu glisses dessus, fils, coccyx fêlé, t'as plus de seufs refré fais ta maille. Le bizness illicite nécéssite que Rude boy sache réagir très vite.
Rude boy se tape, Rude boy vend du s***, le bizness illicite nécessite que Rude boy sache réagir très vite, car qu'est-ce qui agite et contraint les lascars sinon le fric qui gravite aux alentours d'une bonne affaire.Gars, faut être prêt et très vite. Oh non! Pas de cas de conscience, j'avais pas de cas de conscience, ma conscience c'était mon ventre vide, c'était mes poches vides et quitte à paraître stupide, fallait jouer les oufs et faire preuve d'un sarcasme sordide, je kiffais le morbide, yes! J'ai appris à vivre en osmose avec la rue, en son sein rien n'y est facile, tout s'oppose, chacun prend la pose du me casse pas les c******* de rigueur, alors vivre avec les autres devient une psychose et les esprits s'ankylosent. Les gens marchent, se promènent, pourtant toi la rue est un problème. Tu n'y vois que des c***nnes, que des sales embrouilles qui ne valent même pas la peine que tu te casses les c*******, donc t'echaînes, tu souhaites partir loin du chant des sirènes. Mais est-ce que ça en vaut vraiment la peine?
Rares sont les politiciens, juristes, Big Boss qui bé-ton dans le précipice, ils ont le don d'esquiver, d'utiliser les enfants des cités commes des pions. Ca me les brise, zot ka prend trop moun pou couillon, telle est ma franchise, telle est ma devise, brisé, je brise le système qui divise le peuple et l'égare dans des ghettos de béton, tant les défavorisés n'ont pas d'autres moyens que de biznesser, l'art du biz c'est l'art de survivre. Lorsque tu ne peux travailler pour check les vivres, peuple des cités, des bas-quartiers fais ton biz, scrèd et a**ure tes arrières, le biz ça ne rapporte pas que des pépettes, frère. Les peaux de bananes ça blesse si tu glisses dessus, fils.