La caissière populaire relève sa robe
et me montre son guichet automatique.
Elle m'avertit que j'ai besoin de deux pièces d'identité.
Bon !
Je baisse mes pantalons , et je lui montre ma carte de guichet.
Elle la tourne et la retourne dans ses mains. Elle dit :
" Elle est très belle mais ce n'est pas a**ez. "
Bon !
J'enlève mon chandail
et je me plonge la main droite dans la poitrine.
Je m'arrache le cœur
que je dépose encore chaud et battant sur son comptoir.
Elle le prend dans ses mains, le tourne, le retourne, me dit :
" Il n'y a pas de signature.
Il me faut quelque chose avec une signature. "
Bon !
Je m'arrache les dentiers
et je les lance vers la caissière populaire
qui les attrape et qui se les met sur la tête
comme une couronne de reine de carnaval.
Elle pleure. Je meurs.
Maintenant j'ai un masque de gardien de but
et j'ai une grosse hache qui brille qui brille comme sa couronne de carnaval
et c'est un vendredi 13 dans la trrrès belle ville de Quebec.
Mon masque a un smile que seule la mort peut satisfaire
et je lève très haut la hache
et me montre son guichet automatique.
Elle m'avertit que j'ai besoin de deux pièces d'identité.
Bon !
Je baisse mes pantalons , et je lui montre ma carte de guichet.
Elle la tourne et la retourne dans ses mains. Elle dit :
" Elle est très belle mais ce n'est pas a**ez. "
Bon !
J'enlève mon chandail
et je me plonge la main droite dans la poitrine.
Je m'arrache le cœur
que je dépose encore chaud et battant sur son comptoir.
Elle le prend dans ses mains, le tourne, le retourne, me dit :
" Il n'y a pas de signature.
Il me faut quelque chose avec une signature. "
Bon !
Je m'arrache les dentiers
et je les lance vers la caissière populaire
qui les attrape et qui se les met sur la tête
comme une couronne de reine de carnaval.
Elle pleure. Je meurs.
Maintenant j'ai un masque de gardien de but
et j'ai une grosse hache qui brille qui brille comme sa couronne de carnaval
et c'est un vendredi 13 dans la trrrès belle ville de Quebec.
Mon masque a un smile que seule la mort peut satisfaire
et je lève très haut la hache