C'est un bien beau filon C'est un filon soûlon
Un genre de filon sans fond Où je plante ma boussole
pour consulter le sol et en tirer des paroles
Alors que par-dessus les dunes les nuages se lancent la lune
D'une nuit blanche à l'autre Comme l'écho d'un éclat
dans l'œil mort du Mollah la musique s'en va par là
C'comme les enfants obèses qui s'bourrent de mayonnaise
Et qui mangent des tartes aux fraises
Y'ont l'air des bottes de foin qui s'arrondissent les coins
tout ça n'est pas très malin
Alors que dans certains pays on grave sa vie sur un grain d'riz
D'une journée à l'autre Des paroles de chansons
affleurent dans la boisson on dirait des bancs de poisson
Il y a des cas uniques quelque peu spécifiques
pour le moins cacophoniques Où viennent faire faux bond
toutes les motivations qui sautillent sans grande conviction
Alors qu'on s'habitue à tout sauf aux cailloux ou aux p't*** clous
Dans un soulier ou l'autre Vous qui couvez au creux
de mon vieux crâne en feu Faites-vous donc aller un p't** peu
Les ventrus, les fessus les dodus, les cuissus
toutes ces belles paroles bien charnues
Les poupounes, les toutounes avec leurs grosses foufounes
Forment des rimes a**ez nounounes
Alors que ces gros mots m'obsèdent que je marche sur une corde raide
D'un pas boîteux à l'autre
À la va-comme-j'te-pousse ma muse se trémousse
et le beau filon prend du lousse
Vive les patapoufs vive les gros sacs à bouffe
Vive les gros tas et les grosses touffes
Toutes ces expressions me font bonne impression
Et peuvent vite remplir une chanson
Alors que j'exploite le filon que je prospecte à coups d'crayon
D'une feuille blanche à l'autre
J'ai déjà 5 couplets Et j'affiche complet
même si j'trouve ça un peu simplet
Quelle veine!
Un genre de filon sans fond Où je plante ma boussole
pour consulter le sol et en tirer des paroles
Alors que par-dessus les dunes les nuages se lancent la lune
D'une nuit blanche à l'autre Comme l'écho d'un éclat
dans l'œil mort du Mollah la musique s'en va par là
C'comme les enfants obèses qui s'bourrent de mayonnaise
Et qui mangent des tartes aux fraises
Y'ont l'air des bottes de foin qui s'arrondissent les coins
tout ça n'est pas très malin
Alors que dans certains pays on grave sa vie sur un grain d'riz
D'une journée à l'autre Des paroles de chansons
affleurent dans la boisson on dirait des bancs de poisson
Il y a des cas uniques quelque peu spécifiques
pour le moins cacophoniques Où viennent faire faux bond
toutes les motivations qui sautillent sans grande conviction
Alors qu'on s'habitue à tout sauf aux cailloux ou aux p't*** clous
Dans un soulier ou l'autre Vous qui couvez au creux
de mon vieux crâne en feu Faites-vous donc aller un p't** peu
Les ventrus, les fessus les dodus, les cuissus
toutes ces belles paroles bien charnues
Les poupounes, les toutounes avec leurs grosses foufounes
Forment des rimes a**ez nounounes
Alors que ces gros mots m'obsèdent que je marche sur une corde raide
D'un pas boîteux à l'autre
À la va-comme-j'te-pousse ma muse se trémousse
et le beau filon prend du lousse
Vive les patapoufs vive les gros sacs à bouffe
Vive les gros tas et les grosses touffes
Toutes ces expressions me font bonne impression
Et peuvent vite remplir une chanson
Alors que j'exploite le filon que je prospecte à coups d'crayon
D'une feuille blanche à l'autre
J'ai déjà 5 couplets Et j'affiche complet
même si j'trouve ça un peu simplet
Quelle veine!