Et merde ça revient et puis se miner je sais bien que ça sert à rien,
Les divergences lacèrent nos liens, une dernière fois je te sers la main,
Ce coup-ci on se dit pas à demain, je mets nos tasses à la vaisselle,
La prochaine fois une sera sale et le matin je vais me lever seul.
« Ma vie n'est q'un linceul » je l'ai dit avant de connaître l'amour,
Les années passent et on pense que ce dernier permet d'omettre la mort.
Peut-être pour certains quand la vie par le bonheur est sertie,
Le miens me croisait au détour d'un chemin allant à Essertines.
Mon amour n'eu pas de reflets et ça j'en fut navré,
J'écris, décris, puis relis tous mes pamphlets : ma vie ne fut qu'un navet !
Laver mes mains de cette affection, aujourd'hui infection,
Le cœur à l'inverse du s**e ne connaît pas la flexion.
Alors je reste droit, même dans ma connerie,
Demandes à celles qui m'on connut, ce que j'ai ressenti jamais je le renie.
Mais « Je t'aime » j'ai peur à chaque fois que je le redis !
Mais « Je t'aime » j'ai peur à chaque fois que je le redis !
A la base si simple, au fil du temps s'estompe,
Ce que l'on pensait si sain devient souvenirs que l'on raconte,
Rends toi compte, je n'ai jamais rien vécu à ciel ouvert,
Du doigt je montre ces sentiments qu'on préfère voir sous verre.
Souvent s'y abandonner n'engendre pas le moment prôné,
La charrue n'avance pas notre muse mule impotente même éperonné,
Ne vous méprenez pas je n'ai pas la prétention d'un vécu,
J'ai fait peu de premiers pas, suffit d'un rien pour être déçu !
Le dessus je l'ai jamais eu, je suis trop esclave de ça,
C'était juste « un » qui aimait « une », histoire banale pour ici bas.
Devenue pourrie c'est bête, comme dit Dapro j'avais quelque chose à perdre,
Et je me battrais, j'espère qu'on est d'accord, quitte à foutre la merde !
C'est pas la mer à boire, facile à dire, mais le penser est un dur labeur,
Je l'adore alors je kiff et souffre avec ardeur.
S'il faut que je chialle par quart d'heure, car je sais qu'il n'y pas d e retour,
Je préfère voir pourrir cette fleur que de cueillir un autre tour.
J'ôte tout, tout ce qui précéda n'était qu'une esquisse,
Sourire si exquis, et pour lui je vous demande, se morfondre est-ce triste ?
J'existais enfin, comme un rêve d'enfant,
Mais qui devint défunt, et mon cœur se mua en fonte !
Les divergences lacèrent nos liens, une dernière fois je te sers la main,
Ce coup-ci on se dit pas à demain, je mets nos tasses à la vaisselle,
La prochaine fois une sera sale et le matin je vais me lever seul.
« Ma vie n'est q'un linceul » je l'ai dit avant de connaître l'amour,
Les années passent et on pense que ce dernier permet d'omettre la mort.
Peut-être pour certains quand la vie par le bonheur est sertie,
Le miens me croisait au détour d'un chemin allant à Essertines.
Mon amour n'eu pas de reflets et ça j'en fut navré,
J'écris, décris, puis relis tous mes pamphlets : ma vie ne fut qu'un navet !
Laver mes mains de cette affection, aujourd'hui infection,
Le cœur à l'inverse du s**e ne connaît pas la flexion.
Alors je reste droit, même dans ma connerie,
Demandes à celles qui m'on connut, ce que j'ai ressenti jamais je le renie.
Mais « Je t'aime » j'ai peur à chaque fois que je le redis !
Mais « Je t'aime » j'ai peur à chaque fois que je le redis !
A la base si simple, au fil du temps s'estompe,
Ce que l'on pensait si sain devient souvenirs que l'on raconte,
Rends toi compte, je n'ai jamais rien vécu à ciel ouvert,
Du doigt je montre ces sentiments qu'on préfère voir sous verre.
Souvent s'y abandonner n'engendre pas le moment prôné,
La charrue n'avance pas notre muse mule impotente même éperonné,
Ne vous méprenez pas je n'ai pas la prétention d'un vécu,
J'ai fait peu de premiers pas, suffit d'un rien pour être déçu !
Le dessus je l'ai jamais eu, je suis trop esclave de ça,
C'était juste « un » qui aimait « une », histoire banale pour ici bas.
Devenue pourrie c'est bête, comme dit Dapro j'avais quelque chose à perdre,
Et je me battrais, j'espère qu'on est d'accord, quitte à foutre la merde !
C'est pas la mer à boire, facile à dire, mais le penser est un dur labeur,
Je l'adore alors je kiff et souffre avec ardeur.
S'il faut que je chialle par quart d'heure, car je sais qu'il n'y pas d e retour,
Je préfère voir pourrir cette fleur que de cueillir un autre tour.
J'ôte tout, tout ce qui précéda n'était qu'une esquisse,
Sourire si exquis, et pour lui je vous demande, se morfondre est-ce triste ?
J'existais enfin, comme un rêve d'enfant,
Mais qui devint défunt, et mon cœur se mua en fonte !