sur cette route poussiéreuse, il ne passait personne...
que faisait elle planter la...
dans la station tout la bas,
a quoi ça sert dites moi, de vendre de l'essence...
quand il n'y a plus rien ensuite... qu'une falaise de granit
elle, elle s'en... foutait bien, la fille en s*****tte...
abandonnée la... oublier la! pour attendre quoi?
servir des gens qui ne viendrai plus jamais jusque la...
vendredi 13, il était tard,
le temps était lourd...
elle s'endormait a moitié,
le bruit la fit sursauter,
le tonnerre, du semi r'morque
fit trembler les murs,de la station décrépite
et puis le silence se fit...
elle avança doucement vers la cabine bleue,
d'ou sortit un grand gaillard
comme dans les histoires comme par hasard
ses jambes la lâchaient tellement elle tremblait...
pourtant, un jour ça d'vait arriver.. et elle... elle croyait rêver...
et la vie, comme une toupie, se mit a tourner
de plus en plus vite... s'emballer... s'affoler...
c'était lui mais ça aurait pu être n'importe qui...
vendredi 13, il était tard
le temps était lourd
ils n'ont même pas dit un mot
mais son souffle etait si chaud
sur son corps, solitaire, depuis combien de temps déjà?
elle fixait la lune blanche,
en s'accrochant a ses anches...
quand le jour se leva, sur la station service
ils étaient encore soudés,
a même le sol tout huilé.
elle lui fit un café, avec des gestes gauches,
il but et dit "merci", d'un signe qui disait "salut" aussi...
elle refit, sa coiffure tant bien que mal
mais sa tête bourdonnait, elle revoyait ce
vendredi 13, dans son souvenirs, l'homme n'avait plus de visage
mais c'est mains comme un message,
lui disaient qu'elle était belle, qu'elle ne s'rait,
plus jamais seule, et en souriant elle se dit,
qu'en ce joli samedi... elle quitterai le pays...
que faisait elle planter la...
dans la station tout la bas,
a quoi ça sert dites moi, de vendre de l'essence...
quand il n'y a plus rien ensuite... qu'une falaise de granit
elle, elle s'en... foutait bien, la fille en s*****tte...
abandonnée la... oublier la! pour attendre quoi?
servir des gens qui ne viendrai plus jamais jusque la...
vendredi 13, il était tard,
le temps était lourd...
elle s'endormait a moitié,
le bruit la fit sursauter,
le tonnerre, du semi r'morque
fit trembler les murs,de la station décrépite
et puis le silence se fit...
elle avança doucement vers la cabine bleue,
d'ou sortit un grand gaillard
comme dans les histoires comme par hasard
ses jambes la lâchaient tellement elle tremblait...
pourtant, un jour ça d'vait arriver.. et elle... elle croyait rêver...
et la vie, comme une toupie, se mit a tourner
de plus en plus vite... s'emballer... s'affoler...
c'était lui mais ça aurait pu être n'importe qui...
vendredi 13, il était tard
le temps était lourd
ils n'ont même pas dit un mot
mais son souffle etait si chaud
sur son corps, solitaire, depuis combien de temps déjà?
elle fixait la lune blanche,
en s'accrochant a ses anches...
quand le jour se leva, sur la station service
ils étaient encore soudés,
a même le sol tout huilé.
elle lui fit un café, avec des gestes gauches,
il but et dit "merci", d'un signe qui disait "salut" aussi...
elle refit, sa coiffure tant bien que mal
mais sa tête bourdonnait, elle revoyait ce
vendredi 13, dans son souvenirs, l'homme n'avait plus de visage
mais c'est mains comme un message,
lui disaient qu'elle était belle, qu'elle ne s'rait,
plus jamais seule, et en souriant elle se dit,
qu'en ce joli samedi... elle quitterai le pays...