Ho Marylou
Dans la nuit le vent hurle les chants
Tous les enfers de l'agonie
Le tonnerre crache sans fin
Des tonnerres de tragédie
Marylououou
Nul n'existe plus que nous.
Ho Marylou
Aveuglant un éclair arrête
Le baiser qui nous réunis
Dans tes yeux le désir fait naitre
L'étincelle de l'envi
Marilououou
Nul n'existe plus que nous.
Ho Marylou ne sent tu pas
Que la nuit nous ouvre ses bras
Que la passion des éléments
N'étais pas celle que je ressens
Ecoute ces forces déchainées
De joie j'ai envie de hurler
Dans notre petit lit douillé
À la lueur de la cheminée.
Ho Marylou
Dans sa colère le vent jète
Ses quelques restes de raison
Un froid de mort soudain pénètre
Au cœur de notre abandon
Marylououou
Nul n'existe plus que nous.
Ho Marylou
le feu de bois qui tout a l'heure
Plein de ferveur entretenais
Les flammes de notre bonheur
Lui aussi n'a pu résisté
Marylououou
Nul n'existe plus que nous.
Ho Marylou console toi
L'amour la mort ne sont il pas
Les complices de l'au-delà
Unis dans le même embarras
Ho Marylou je t'en prie calme toi
S'il faut mourir et bien que se soit
A laisser nos cœurs emmêler
Succombe dans un dernier baiser.
Dans la nuit le vent hurle les chants
Tous les enfers de l'agonie
Le tonnerre crache sans fin
Des tonnerres de tragédie
Marylououou
Nul n'existe plus que nous.
Ho Marylou
Aveuglant un éclair arrête
Le baiser qui nous réunis
Dans tes yeux le désir fait naitre
L'étincelle de l'envi
Marilououou
Nul n'existe plus que nous.
Ho Marylou ne sent tu pas
Que la nuit nous ouvre ses bras
Que la passion des éléments
N'étais pas celle que je ressens
Ecoute ces forces déchainées
De joie j'ai envie de hurler
Dans notre petit lit douillé
À la lueur de la cheminée.
Ho Marylou
Dans sa colère le vent jète
Ses quelques restes de raison
Un froid de mort soudain pénètre
Au cœur de notre abandon
Marylououou
Nul n'existe plus que nous.
Ho Marylou
le feu de bois qui tout a l'heure
Plein de ferveur entretenais
Les flammes de notre bonheur
Lui aussi n'a pu résisté
Marylououou
Nul n'existe plus que nous.
Ho Marylou console toi
L'amour la mort ne sont il pas
Les complices de l'au-delà
Unis dans le même embarras
Ho Marylou je t'en prie calme toi
S'il faut mourir et bien que se soit
A laisser nos cœurs emmêler
Succombe dans un dernier baiser.