Si les hommes naissaient sans larmes
Et si les mères enfantaient d'un sourire
Si la vie n'était gitane
Et que la mort ne pourrait l'en dédire
Tout m'éblouirait
Tout m'étourdirait
et je t'aimerais
Sans souffrir
Tout m'éblouirait
Tout m'étourdirait
et je t'aimerais
Sans souffrir
Si l'amour n'aimait les flammes
S'il ne se perdait jamais d'un désir
Si les rêves ne rendaient l'âme
Dès que se lève le feu du plaisir.
Tout m'éblouirait
Tout m'étourdirait
et je t'aimerais
Sans souffrir
Bis
tout le temps ne suffirait
pour que nos corps tremblants s'épandent
à tout jamais
Et si les mères enfantaient d'un sourire
Si la vie n'était gitane
Et que la mort ne pourrait l'en dédire
Tout m'éblouirait
Tout m'étourdirait
et je t'aimerais
Sans souffrir
Tout m'éblouirait
Tout m'étourdirait
et je t'aimerais
Sans souffrir
Si l'amour n'aimait les flammes
S'il ne se perdait jamais d'un désir
Si les rêves ne rendaient l'âme
Dès que se lève le feu du plaisir.
Tout m'éblouirait
Tout m'étourdirait
et je t'aimerais
Sans souffrir
Bis
tout le temps ne suffirait
pour que nos corps tremblants s'épandent
à tout jamais