Aux confins du village,
Sous un chapeau de chaume,
Vit et sévit une fille canaille.
Aie Aie
Est-ce par vice? Est-ce par don?
Qu'à contrario,
Mes a**iduités d'époux l'a**aillent.
Eieiaio
Elle est l'eau. Elle est l'air.
Elle est le feu qui brûle
Mon âme aimant,
Mêlant le doux qui dure
Le cri qui se murmure
Le tout et l'élément.
S'échappe ou m'ose.
Se cache ou pose.
Aime inopinément
Depuis l'aubaine
Jusqu'au grand soir déçu des sentiments.
Eieiaio
Elle est pour autant. Elle est du moins
De mes amours, la plus amène
A m'alpaguer de tous ses toujours,
Apte à si bien simuler la haine.
Et si aisément, elle essaie bien
De me détourner vers l'arène
Où d'aucuns la divinisent
Quand, moi, je la dis olé-olé.
Elle fait l'amour. Elle fait la guerre.
S'amuse à jouer girouette
Là, comme ça, pour se distraire
Qu'elle se déhanche, qu'elle se raidisse,
C'est en dévoreuse,
Qu'à chaque fois, elle se déguise.
Sous un chapeau de chaume,
Vit et sévit une fille canaille.
Aie Aie
Est-ce par vice? Est-ce par don?
Qu'à contrario,
Mes a**iduités d'époux l'a**aillent.
Eieiaio
Elle est l'eau. Elle est l'air.
Elle est le feu qui brûle
Mon âme aimant,
Mêlant le doux qui dure
Le cri qui se murmure
Le tout et l'élément.
S'échappe ou m'ose.
Se cache ou pose.
Aime inopinément
Depuis l'aubaine
Jusqu'au grand soir déçu des sentiments.
Eieiaio
Elle est pour autant. Elle est du moins
De mes amours, la plus amène
A m'alpaguer de tous ses toujours,
Apte à si bien simuler la haine.
Et si aisément, elle essaie bien
De me détourner vers l'arène
Où d'aucuns la divinisent
Quand, moi, je la dis olé-olé.
Elle fait l'amour. Elle fait la guerre.
S'amuse à jouer girouette
Là, comme ça, pour se distraire
Qu'elle se déhanche, qu'elle se raidisse,
C'est en dévoreuse,
Qu'à chaque fois, elle se déguise.