Quand tu m'dis qu'tu veux plus d'ça,
J'ferme les yeux pour mieux y voir.
Quand tu m'dis qu'ça fait trop mal,
Pas b'soin d'tes yeux pour y croire.
On peut jamais tout porter,
Et pas toujours tout savoir.
Le silence qui coupe la parole,
C'est bien pire que tous les mots.
Le silence en réponse qu'on donne,
C'est bien l'pire de tous les maux.
On peut jamais oublier, r'mettre le compteur à zéro.
Faire semblant faire semblant,
C'est tout c'qu'on a pu trouver,
Faire semblant faire semblant,
On joue avec tous nos vieux plans usés.
Faire semblant, faire semblant,
On joue les héros d'un soir,
Faire semblant faire semblant
On s'raconte sans fin les mêmes histoires.
On déroule le fond de l'ennui,
Sur les larmes de nos blessures.
On s'enroule au fond de nos lits,
Dans un souffle qui nous rassure.
Rester d'peur de rester seul,
On fait toujours des ratures,
On s'en donne du mal pour s'aimer,
On s'fout en l'air sans rien dire.
J'ferme les yeux pour mieux y voir.
Quand tu m'dis qu'ça fait trop mal,
Pas b'soin d'tes yeux pour y croire.
On peut jamais tout porter,
Et pas toujours tout savoir.
Le silence qui coupe la parole,
C'est bien pire que tous les mots.
Le silence en réponse qu'on donne,
C'est bien l'pire de tous les maux.
On peut jamais oublier, r'mettre le compteur à zéro.
Faire semblant faire semblant,
C'est tout c'qu'on a pu trouver,
Faire semblant faire semblant,
On joue avec tous nos vieux plans usés.
Faire semblant, faire semblant,
On joue les héros d'un soir,
Faire semblant faire semblant
On s'raconte sans fin les mêmes histoires.
On déroule le fond de l'ennui,
Sur les larmes de nos blessures.
On s'enroule au fond de nos lits,
Dans un souffle qui nous rassure.
Rester d'peur de rester seul,
On fait toujours des ratures,
On s'en donne du mal pour s'aimer,
On s'fout en l'air sans rien dire.