79, voici PASSI dans la vague pour Paris.
Ma famille est nombreuse ,à Babylone on attérit.
Au pays la vide est rude, le voyage est donc le prélude
à l'épisode Neg'Ä Sarcelles, venu pour faire ses études.
Avec LAZHIZ, crise au fond de la classe, nos places a**ises,
on baptise nos biz, bétises, nos premiers vices s'aiguisent.
La 5, les stranges, Goldorak en thèmes de jeux,
c'était les jours heureux pour un petit re-noi fougueux.
13 ans ti mal, l'époque du centre commerciale,
mes magasins préférés étaient Prisu et Escale.
Ça marchait souvent, donc on y allait tout le temps.
T'entends clic,clic,clac,clac,clac, pour des bric-à-brac.
Internat, après conseil besoin de supériorité,
car les embrouilles, les années, le H I P m'ont chopé.
Moins dans l'quartier, poussé à aller taper,
j'engrenais les miens à bouger et serrer.
91, premier disque, premiere part dans les bacs.
92/94, nos tactiques toujours l'attaque.
{Refrain:}
C'est Passi en solo les tentations c'est l'album,
pour toutes les métropoles mais aussi pour les DOM-TOM.
Traîtres, pourquoi tant de haine, 95 200, c'est la même,
comme dans le passé, il refrappe, "c'est toujours idem".
7.9 à 9.9, entre les traîtres, les prises de tête,
y a eu des choses partir en c*******, les changements de facettes:
certains ont pris la meumeu comme thérapeute,
d'autres galèrent aller-retour, derrière les barreaux se pieutent
(c'est la merde).
Beaucoup, un moment nous ont partiellement quittés,
malheureusement comme ARMAND, d'autres pour toujours
(respect).
La vie du tié-quar pousse les lascars je ne sais où,
j'ai vécu des sales coups et j'en ai appris beaucoup.
Bâtiment A et B, dans les sombres quartiers en zon-pri,
le phoenix renaît après qu'on l'ail coupé de sa vie.
Puis voila 9.7, les sonos, les fêtes, l'or, les platines
Après tant d'années pleines, pleines de peines, après avoir tant donné
Et le succès c'est plus déja les prises de tête et les jalousies
98-99 la bataille n'est pas finie
MAMA pardonne moi si ce pourquoi je suis ici,
tous ces diplômes, je n'ai pas conquis.
MAMA félicite ton fils, je suis droit dans mes choix,
on apprécie ma voix et mon nom prend du poids.
{au Refrain}
Ma famille est nombreuse ,à Babylone on attérit.
Au pays la vide est rude, le voyage est donc le prélude
à l'épisode Neg'Ä Sarcelles, venu pour faire ses études.
Avec LAZHIZ, crise au fond de la classe, nos places a**ises,
on baptise nos biz, bétises, nos premiers vices s'aiguisent.
La 5, les stranges, Goldorak en thèmes de jeux,
c'était les jours heureux pour un petit re-noi fougueux.
13 ans ti mal, l'époque du centre commerciale,
mes magasins préférés étaient Prisu et Escale.
Ça marchait souvent, donc on y allait tout le temps.
T'entends clic,clic,clac,clac,clac, pour des bric-à-brac.
Internat, après conseil besoin de supériorité,
car les embrouilles, les années, le H I P m'ont chopé.
Moins dans l'quartier, poussé à aller taper,
j'engrenais les miens à bouger et serrer.
91, premier disque, premiere part dans les bacs.
92/94, nos tactiques toujours l'attaque.
{Refrain:}
C'est Passi en solo les tentations c'est l'album,
pour toutes les métropoles mais aussi pour les DOM-TOM.
Traîtres, pourquoi tant de haine, 95 200, c'est la même,
comme dans le passé, il refrappe, "c'est toujours idem".
7.9 à 9.9, entre les traîtres, les prises de tête,
y a eu des choses partir en c*******, les changements de facettes:
certains ont pris la meumeu comme thérapeute,
d'autres galèrent aller-retour, derrière les barreaux se pieutent
(c'est la merde).
Beaucoup, un moment nous ont partiellement quittés,
malheureusement comme ARMAND, d'autres pour toujours
(respect).
La vie du tié-quar pousse les lascars je ne sais où,
j'ai vécu des sales coups et j'en ai appris beaucoup.
Bâtiment A et B, dans les sombres quartiers en zon-pri,
le phoenix renaît après qu'on l'ail coupé de sa vie.
Puis voila 9.7, les sonos, les fêtes, l'or, les platines
Après tant d'années pleines, pleines de peines, après avoir tant donné
Et le succès c'est plus déja les prises de tête et les jalousies
98-99 la bataille n'est pas finie
MAMA pardonne moi si ce pourquoi je suis ici,
tous ces diplômes, je n'ai pas conquis.
MAMA félicite ton fils, je suis droit dans mes choix,
on apprécie ma voix et mon nom prend du poids.
{au Refrain}