Petite fille dans la tempête
Trop grande avant avoir seize ans
Lune a dessiné dans sa tête
Un grand fil sur le firmament
Petit îlot de solitude
Ivre au milieu des eaux salées
Des océans d'incertitudes
Qu'elle est trop seule pour dissiper.
Elle songe à ses envies d'envers
A ses endroits mille pieds sous terre
Où elle pourrait sourire sans soupirer
Et qu'on lui donne enfin
de l'air
Qu'elle s'abreuve sans fin
De l'air ...
Et qu'on lui donne enfin
de l'air
Qu'elle s'abreuve sans fin
De l'air ...
Petite fleur cherche printemps
Voudrait ouvrir mais à Fleury
On ouvre que de temps en temps
et on referme aussitôt dit.
Elle songe à ses envies d'envers
A ses endroits mille pieds sous terre
Où elle pourrait sourire sans soupirer
Et qu'on lui donne enfin
de l'air
Qu'elle s'abreuve sans fin
De l'air ...
Et qu'on lui donne enfin
de l'air
Qu'elle s'abreuve sans fin
De l'air ...
Petit caillou dans les embruns
D'une plage où c'est échoué
Le grand cargo noir du destin
Lune est à moitié, à moitié chavirée.
Et qu'on lui donne enfin
de l'air
Qu'elle s'abreuve sans fin
De l'air ...
De l'air de l'eau du ciel sur sa peau
De l'air des rires du bonheur qui transpire
De l'air des bras ouverts et qu'on ne referme pas
De l'air des mots qui soufflent les sanglots
de l'air.
Trop grande avant avoir seize ans
Lune a dessiné dans sa tête
Un grand fil sur le firmament
Petit îlot de solitude
Ivre au milieu des eaux salées
Des océans d'incertitudes
Qu'elle est trop seule pour dissiper.
Elle songe à ses envies d'envers
A ses endroits mille pieds sous terre
Où elle pourrait sourire sans soupirer
Et qu'on lui donne enfin
de l'air
Qu'elle s'abreuve sans fin
De l'air ...
Et qu'on lui donne enfin
de l'air
Qu'elle s'abreuve sans fin
De l'air ...
Petite fleur cherche printemps
Voudrait ouvrir mais à Fleury
On ouvre que de temps en temps
et on referme aussitôt dit.
Elle songe à ses envies d'envers
A ses endroits mille pieds sous terre
Où elle pourrait sourire sans soupirer
Et qu'on lui donne enfin
de l'air
Qu'elle s'abreuve sans fin
De l'air ...
Et qu'on lui donne enfin
de l'air
Qu'elle s'abreuve sans fin
De l'air ...
Petit caillou dans les embruns
D'une plage où c'est échoué
Le grand cargo noir du destin
Lune est à moitié, à moitié chavirée.
Et qu'on lui donne enfin
de l'air
Qu'elle s'abreuve sans fin
De l'air ...
De l'air de l'eau du ciel sur sa peau
De l'air des rires du bonheur qui transpire
De l'air des bras ouverts et qu'on ne referme pas
De l'air des mots qui soufflent les sanglots
de l'air.