Nouvelle mélo, nouvelle musique, nouveau sujet à aborder, nouvelle compo, nouvelle critique, nouveau texte à balancer,
justice misère, le nucléaire, la révolution par internet,
les utopies, que dire, que faire, car même la guerre j'lai déjà faite,
mais c'matin j'ai la tête vide, neurones absents,
les mots me manquent, un bateau ivre, à la dérive, et même mon
bic est en panne d'encre, j'ai la batterie un peu usée, y'a plus
d'essence dans l'cerveau, c'est la panne sèche des hémisphères,
pourquoi j'me suis levé si tôt ? elle est entrée, une petite voix
me dit tout bas, t'es trop sérieux, soit plus léger, second degré
alors laisse-toi aller...
J'ai beau m'passer l'refrain en boucle, creuser un thème à la légère,
comme un joli souvenir d'enfance ou une belle ballade printanière,
un vol de mouettes en plein été,
ou l'coup d'foudre du mois d'Juillet, pas facile, la facilité, ça pèse
deux ou trois tonnes, la légèreté, v'la mes pages blanches comme
un Everest, un nouveau pic à dominer, par la face Nord,
par la face Est, une nouvelle voie à explorer, mais j'ai l'esprit
toujours à l'Ouest, rien ne me viens, je reste au pied,
joindre l'ivresse et le sommet, ça s'rait plutôt la brasse coulée,
alors arrête de m'prendre le tête sinon y'a l'gaz ou bien
la f'nêtre, soit plus léger, second degré alors laisse-toi aller...
j'voudrais un p't** bout d'paradis artificiel pour me lâcher,
pour alimenter du superficiel, un truc illicite qui pourrait m'aider
en barre, en poudre ou en fumée même du légal à décapsuler,
en pack de douze, mais à c't'heure là, même le rebeu il est fermé, blâmons la haine, au creux des dilemmes, ce s'rait
génial, ce s'rait le drame, pour déclencher l'inspiration,
ah ! si seulement j'avais deux femmes, deux p't**es histoires
en parallèle, s'il fallait se faire haïr, quand les extrèmes créent
des problèmes au moins y'a toujours quelque chose à dire,
encore une fois ces petites voix me disent tout bas,
lâche tes idées, lâche ton stylo, viens t'allonger et puis surtout
laisse-toi aller.....
justice misère, le nucléaire, la révolution par internet,
les utopies, que dire, que faire, car même la guerre j'lai déjà faite,
mais c'matin j'ai la tête vide, neurones absents,
les mots me manquent, un bateau ivre, à la dérive, et même mon
bic est en panne d'encre, j'ai la batterie un peu usée, y'a plus
d'essence dans l'cerveau, c'est la panne sèche des hémisphères,
pourquoi j'me suis levé si tôt ? elle est entrée, une petite voix
me dit tout bas, t'es trop sérieux, soit plus léger, second degré
alors laisse-toi aller...
J'ai beau m'passer l'refrain en boucle, creuser un thème à la légère,
comme un joli souvenir d'enfance ou une belle ballade printanière,
un vol de mouettes en plein été,
ou l'coup d'foudre du mois d'Juillet, pas facile, la facilité, ça pèse
deux ou trois tonnes, la légèreté, v'la mes pages blanches comme
un Everest, un nouveau pic à dominer, par la face Nord,
par la face Est, une nouvelle voie à explorer, mais j'ai l'esprit
toujours à l'Ouest, rien ne me viens, je reste au pied,
joindre l'ivresse et le sommet, ça s'rait plutôt la brasse coulée,
alors arrête de m'prendre le tête sinon y'a l'gaz ou bien
la f'nêtre, soit plus léger, second degré alors laisse-toi aller...
j'voudrais un p't** bout d'paradis artificiel pour me lâcher,
pour alimenter du superficiel, un truc illicite qui pourrait m'aider
en barre, en poudre ou en fumée même du légal à décapsuler,
en pack de douze, mais à c't'heure là, même le rebeu il est fermé, blâmons la haine, au creux des dilemmes, ce s'rait
génial, ce s'rait le drame, pour déclencher l'inspiration,
ah ! si seulement j'avais deux femmes, deux p't**es histoires
en parallèle, s'il fallait se faire haïr, quand les extrèmes créent
des problèmes au moins y'a toujours quelque chose à dire,
encore une fois ces petites voix me disent tout bas,
lâche tes idées, lâche ton stylo, viens t'allonger et puis surtout
laisse-toi aller.....