Non, je n'oublierai jamais la baie de Rio
La couleur du ciel, le nom du Corcovado
La Rua Madureira, la rue que tu habitais
Je n'oublierai pas, pourtant je n'y suis jamais allé.
Non, je n'oublierai jamais ce jour de juillet
Où je t'ai connue, où nous avons dû nous séparer
Aussi peu de temps, et nous avons marché sous la pluie
Moi, je parlais d'amour, et toi, tu parlais de ton pays.
Non, je n'oublierai pas la douceur de ton corps
Dans le taxi qui nous conduisait à l'aéroport
Tu t'es retournée pour me sourire, avant de monter
Dans une Caravelle qui n'est jamais arrivée.
Non, je n'oublierai jamais ce jour où j'ai lu
Ton nom, mal écrit, parmi tant d'autres noms inconnus
Sur la première page d'un journal brésilien
J'essayais de lire et je n'y comprenais rien.
Non, je n'oublierai jamais la baie de Rio
La couleur du ciel, le nom du Corcovado
La Rua Madureira, la rue que tu habitais
Je n'oublierai pas, pourtant je n'y suis jamais allé.
La couleur du ciel, le nom du Corcovado
La Rua Madureira, la rue que tu habitais
Je n'oublierai pas, pourtant je n'y suis jamais allé.
Non, je n'oublierai jamais ce jour de juillet
Où je t'ai connue, où nous avons dû nous séparer
Aussi peu de temps, et nous avons marché sous la pluie
Moi, je parlais d'amour, et toi, tu parlais de ton pays.
Non, je n'oublierai pas la douceur de ton corps
Dans le taxi qui nous conduisait à l'aéroport
Tu t'es retournée pour me sourire, avant de monter
Dans une Caravelle qui n'est jamais arrivée.
Non, je n'oublierai jamais ce jour où j'ai lu
Ton nom, mal écrit, parmi tant d'autres noms inconnus
Sur la première page d'un journal brésilien
J'essayais de lire et je n'y comprenais rien.
Non, je n'oublierai jamais la baie de Rio
La couleur du ciel, le nom du Corcovado
La Rua Madureira, la rue que tu habitais
Je n'oublierai pas, pourtant je n'y suis jamais allé.