(K. Reid - G. Brooker / adaptation: Georges Aber - 1967)
Un homme seul écoutait
En pleurant l'orgue qui jouait.
Il revoyait tout son passé
Là où il s'était marié
Dans cette église où il pleure
Il vient pour vider son cœur.
Non, il ne faut jamais jurer
Mais il ne faut pas juger.
Mais aujourd'hui, c'est trop tard.
Non, rien n'est plus comme avant.
Où sont-elles les orgues d'antan ?
Comme elles jouent tristement !
Un homme seul, à genoux,
Ecoute un orgue qui joue.
Il ne lui reste plus rien
Qu'un immense chagrin.
Il a envie de crier
Sa douleur au monde entier.
Non, il ne faut jamais jurer
Mais il ne faut pas juger.
Mais aujourd'hui, c'est trop tard.
Non, rien n'est plus comme avant.
Où sont-elles les orgues d'antan ?
Comme elles jouent tristement !
Un homme seul écoutait
En pleurant l'orgue qui jouait.
Il revoyait tout son passé
Là où il s'était marié
Dans cette église où il pleure
Il vient pour vider son cœur.
Non, il ne faut jamais jurer
Mais il ne faut pas juger.
Mais aujourd'hui, c'est trop tard.
Non, rien n'est plus comme avant.
Où sont-elles les orgues d'antan ?
Comme elles jouent tristement !
Un homme seul, à genoux,
Ecoute un orgue qui joue.
Il ne lui reste plus rien
Qu'un immense chagrin.
Il a envie de crier
Sa douleur au monde entier.
Non, il ne faut jamais jurer
Mais il ne faut pas juger.
Mais aujourd'hui, c'est trop tard.
Non, rien n'est plus comme avant.
Où sont-elles les orgues d'antan ?
Comme elles jouent tristement !