Il y avait un jardin qu'on appelait la terre.
Il brillait au soleil comme un fruit défendu.
Non, ce n'était pas le paradis ou l'enfer
Ni rien de déja vu ou déja entendu.
Lalala, lalala, lalala
Il y avait un jardin, une maison des arbres,
Avec un lit de mousse pour y faire l'amour
Et un petit ruisseau roulant sans une vague
Venait le rafrachir et poursuivait son cours.
Lalala, lalala, lalala.
Il y avait un jardin grand comme une valle.
On pouvait s'y nourrir toutes les saisons,
Sur la terre brulante ou sur l'herbe gele
Et découvrir des fleurs qui n'avaient pas nom.
Lalala, lalala, lalala.
Il y avait un jardin qu'on appelait la terre.
Il était a**ez grand pour des milliers d'enfants.
Il était habité jadis par nos grands-peres
Qui le tenaient eux-mémes de leurs grands-parents.
Lalala, lalala, lalala.
Ou est-il ce jardin ou nous aurions pu naitre,
Ou nous aurions pu vivre insouciants et nus?
Ou est-il ce jardin toutes portes ouvertes,
Que je cherche encore mais que je ne trouve plus?
Lalala, lalala, lalala.
Il brillait au soleil comme un fruit défendu.
Non, ce n'était pas le paradis ou l'enfer
Ni rien de déja vu ou déja entendu.
Lalala, lalala, lalala
Il y avait un jardin, une maison des arbres,
Avec un lit de mousse pour y faire l'amour
Et un petit ruisseau roulant sans une vague
Venait le rafrachir et poursuivait son cours.
Lalala, lalala, lalala.
Il y avait un jardin grand comme une valle.
On pouvait s'y nourrir toutes les saisons,
Sur la terre brulante ou sur l'herbe gele
Et découvrir des fleurs qui n'avaient pas nom.
Lalala, lalala, lalala.
Il y avait un jardin qu'on appelait la terre.
Il était a**ez grand pour des milliers d'enfants.
Il était habité jadis par nos grands-peres
Qui le tenaient eux-mémes de leurs grands-parents.
Lalala, lalala, lalala.
Ou est-il ce jardin ou nous aurions pu naitre,
Ou nous aurions pu vivre insouciants et nus?
Ou est-il ce jardin toutes portes ouvertes,
Que je cherche encore mais que je ne trouve plus?
Lalala, lalala, lalala.