ECO WARRIORS
Comme si le vent foudroyait la moisson de nos vertus
Dans un tourbillon d'étincelles dont le coeur ne battrait plus !
Combien de viols pour cette pucelle au corps malade et affaibli
Pour des ivresses dévastatrices qu'un monde révolté nous crie ?
Hommage aux pères de nos pères, pour qui l'homme c'est la vie;
Honte aux bagnards de l'univers qui travaillent à vil prix
Et à ces hommes que le mystère accompagne péniblement
Jusqu'au mausolée doré oublié par leurs enfants !
Eco warriors, le combat continue encore et encore.
Eco warriors, la forêt résiste, les bouchers insistent.
Eco warriors, le combat, le combat, le combat.
Eco warriors, déclaration d'indécence pour une vie de non sens.
Bouffée par l'orgueil et le mépris, la boule s'échauffe et vomit.
Un excès de colère et la mer engloutit
Les dompteurs rustres et voraces aux bâtisses artificielles,
Comme autant de cicatrices soit-disant providentielles.
A la Terre, à la Mère d'un confort qui à trop vécu
Les disparitions des indiens et des rebelles fourbus.
C'est leur sang maintenant qui coule en son coeur
Et inonde l'Amazonie comme autant de pleurs...(bis)
Refrain.
Au bleu de l'océan qui fait couler l'encre d'un amour
Qui se préoccupe trop peu des larmes de velours
Versées sur les côtes déchiquetées par la violence de notre ennui
En flaques immondes : meurtrières ennemies !
Encore des hommes et leur folie a jamais condamnable !
Encore des hommes et leurs envies à jamais profitables !
Tous ces crimes n'arrangent rien et détruisent
Toutes nos croyances, nos espoirs puisque
D' hier à nos jours, en masse, on saccage
D'indispensables ressources d'une martyre nommée : Terre.
Refrain.
C'est sous des pluies acides que grandissent nos enfants,
Paumés, shootés, mais si tu connais !
Perfusée aux hydrocarburants, nourrie aux stimulants,
Elle tient le coup ! Mais pour combien de temps ?
Apres avoir violé son intégrité, profité de son humilité,
Révoltée et camée, comme moi, elle vomit !!!
Refrain.
Comme si le vent foudroyait la moisson de nos vertus
Dans un tourbillon d'étincelles dont le coeur ne battrait plus !
Combien de viols pour cette pucelle au corps malade et affaibli
Pour des ivresses dévastatrices qu'un monde révolté nous crie ?
Hommage aux pères de nos pères, pour qui l'homme c'est la vie;
Honte aux bagnards de l'univers qui travaillent à vil prix
Et à ces hommes que le mystère accompagne péniblement
Jusqu'au mausolée doré oublié par leurs enfants !
Eco warriors, le combat continue encore et encore.
Eco warriors, la forêt résiste, les bouchers insistent.
Eco warriors, le combat, le combat, le combat.
Eco warriors, déclaration d'indécence pour une vie de non sens.
Bouffée par l'orgueil et le mépris, la boule s'échauffe et vomit.
Un excès de colère et la mer engloutit
Les dompteurs rustres et voraces aux bâtisses artificielles,
Comme autant de cicatrices soit-disant providentielles.
A la Terre, à la Mère d'un confort qui à trop vécu
Les disparitions des indiens et des rebelles fourbus.
C'est leur sang maintenant qui coule en son coeur
Et inonde l'Amazonie comme autant de pleurs...(bis)
Refrain.
Au bleu de l'océan qui fait couler l'encre d'un amour
Qui se préoccupe trop peu des larmes de velours
Versées sur les côtes déchiquetées par la violence de notre ennui
En flaques immondes : meurtrières ennemies !
Encore des hommes et leur folie a jamais condamnable !
Encore des hommes et leurs envies à jamais profitables !
Tous ces crimes n'arrangent rien et détruisent
Toutes nos croyances, nos espoirs puisque
D' hier à nos jours, en masse, on saccage
D'indispensables ressources d'une martyre nommée : Terre.
Refrain.
C'est sous des pluies acides que grandissent nos enfants,
Paumés, shootés, mais si tu connais !
Perfusée aux hydrocarburants, nourrie aux stimulants,
Elle tient le coup ! Mais pour combien de temps ?
Apres avoir violé son intégrité, profité de son humilité,
Révoltée et camée, comme moi, elle vomit !!!
Refrain.