Soufflent les vents, tonne l'orage
Pleurent les enfants
Dans leur lit sans bouger
Nul ne sait jamais les consoler
Sans raconter l'histoire de Lady Fae
Soufflent les vents, tonne l'orage
Jusqu'à l'horizon les badauds envoutés
Nul ne sait les ignorer chanter
Les vertus magiques des souliers de Lady Fae
Soufflent les vents, tonne l'orage
Lorsqu'on l'apperçoit on ne peut l'oublier mais
Nul ne sait jamais la rattraper
En suivant les traces des souliers de Lady Fae
Soufflent les vents, tonne l'orage
En haut de la colline elle a sa maisonnée
Nul ne sait espérer l'approcher
Sans porter les souliers de Lady Fae
Soufflent les vents, tonne l'orage
Elle prend de sa main la vie des étrangers
Nul ne sait fouler la route aux souliers
Sans trouver la mort aux portes de Lady Fae
Soufflent les vents, tonne l'orage
Celle qui tient le fort reste une fille à marier
Elle attend le jour où l'un deux va passer
La porte de la demeure de Lady Fae
Soufflent les vents, tonne l'orage
L'un d'eux s'est épris de la belle aux souliers
Il traverse les champs de fêlons statufiés
Sans quitter des yeux le chateau de Lady Fae
Soufflent les vents, tonne l'orage
Il n'a que faire des légendes oubliées
En poussant la porte il espère trouver
Ces yeux qui le hantent ce sont ceux de Lady Fae
Soufflent les vents, tonne l'orage
En voyant sa promise il s'est agenouillé
Puis demandant sa main déposa un baiser
Sur les souliers enchantés de Lady Fae
Depuis ce temps tous les enfants sages
Ont écoutés mille fois cette chanson du passé
Par delà le fort ils se sont épousés
Laissant derrière eux les souliers de Lady Fae...
Pleurent les enfants
Dans leur lit sans bouger
Nul ne sait jamais les consoler
Sans raconter l'histoire de Lady Fae
Soufflent les vents, tonne l'orage
Jusqu'à l'horizon les badauds envoutés
Nul ne sait les ignorer chanter
Les vertus magiques des souliers de Lady Fae
Soufflent les vents, tonne l'orage
Lorsqu'on l'apperçoit on ne peut l'oublier mais
Nul ne sait jamais la rattraper
En suivant les traces des souliers de Lady Fae
Soufflent les vents, tonne l'orage
En haut de la colline elle a sa maisonnée
Nul ne sait espérer l'approcher
Sans porter les souliers de Lady Fae
Soufflent les vents, tonne l'orage
Elle prend de sa main la vie des étrangers
Nul ne sait fouler la route aux souliers
Sans trouver la mort aux portes de Lady Fae
Soufflent les vents, tonne l'orage
Celle qui tient le fort reste une fille à marier
Elle attend le jour où l'un deux va passer
La porte de la demeure de Lady Fae
Soufflent les vents, tonne l'orage
L'un d'eux s'est épris de la belle aux souliers
Il traverse les champs de fêlons statufiés
Sans quitter des yeux le chateau de Lady Fae
Soufflent les vents, tonne l'orage
Il n'a que faire des légendes oubliées
En poussant la porte il espère trouver
Ces yeux qui le hantent ce sont ceux de Lady Fae
Soufflent les vents, tonne l'orage
En voyant sa promise il s'est agenouillé
Puis demandant sa main déposa un baiser
Sur les souliers enchantés de Lady Fae
Depuis ce temps tous les enfants sages
Ont écoutés mille fois cette chanson du passé
Par delà le fort ils se sont épousés
Laissant derrière eux les souliers de Lady Fae...