Aube sur mes paupières
Douleurs quand elles sommeillent
Sombres somnifères
M'électrisent jusqu'aux orteils
Ouverture de mes plaies
Réveil par les lèvres du jour
Acides, crissent les craies
Dans les bras des anges sourds
Comme les astres disparaissent
Au point du jour
Mes blessures enfin me laissent
Crépuscule das mes artères
Je vogue dans une spirale de vermeil
Invincible lumière
S'ébat dans mes mondes engloutis
Me libère, me dèleste
Hémophilise mon instinct de survie
Coagule, fige mes enfers
Vide-toi de mon hystérie !
Comme les astres disparaissent
Au point du jour
Mes blessures enfin me laissent
Parfaire mon état d'ivresse
Au réveil du vautour
Toutes mes veines qui se tressent
Se déplissent tous mes contours
Comme les astres disparaissent
Au point du jour
Mes blessures enfin me laissent
Douleurs quand elles sommeillent
Sombres somnifères
M'électrisent jusqu'aux orteils
Ouverture de mes plaies
Réveil par les lèvres du jour
Acides, crissent les craies
Dans les bras des anges sourds
Comme les astres disparaissent
Au point du jour
Mes blessures enfin me laissent
Crépuscule das mes artères
Je vogue dans une spirale de vermeil
Invincible lumière
S'ébat dans mes mondes engloutis
Me libère, me dèleste
Hémophilise mon instinct de survie
Coagule, fige mes enfers
Vide-toi de mon hystérie !
Comme les astres disparaissent
Au point du jour
Mes blessures enfin me laissent
Parfaire mon état d'ivresse
Au réveil du vautour
Toutes mes veines qui se tressent
Se déplissent tous mes contours
Comme les astres disparaissent
Au point du jour
Mes blessures enfin me laissent