Je suis un vaurien
Quelqu'un qui ne fait rien
C'est un luxe croyez bien
De ne servir à rien
Travailler à mon âge
Ne serait pas sérieux
Il m'a paru plus sage
De chômer un petit peu
A l'abri dans mon café
Je regarde le temps passer
Tous ces gens qui courent après
Ne le rattraperont jamais
Moi du temps, j'en ai tellement
Que j'en perds tout le temps
Il me glisse dans les doigts
Je le prends et il s'en va
Et je traîne le nez au vent
En prenant tout mon temps
M'arrêtant dans la rue
Sur de belles inconnues
Vous prendrez bien un coup
Au café ou bien chez vous
Non, je ne suis pas pressé
Je fais rien de mes journées
Profitons ma belle
Des plaisirs charnels
Après tout, c'est toujours ça
Que les banquiers n'auront pas
Savez vous que ne rien faire
Est devenu révolutionnaire
Restons au lit jusqu'au soir
Ça fera baisser le cours du dollar
Je suis un galopin
Je vais où le vent me mène
Remettant à demain
Ce que je peux faire le jour même
Et je regarde amusé
Tous ces gens travailler
Amasser, engranger
Sans jamais s'arrêter
Mais la vie est une farceuse
Qui ne respecte rien
Et la grande faucheuse
N'est jamais bien loin
Moi fauché, je le suis déjà
Alors je ne crains rien
Qu'elle me fauche ce qu'elle voudra
Je ne possède rien
Dans un éclat de rire
Je m'enfuis en courant
A l'approche des tristes sires
Qui voudraient me voir rentrer dans le rang
Non, c'est pas que je ne le veuille pas
Mais je suis pas fait pour ça
Le métro, boulot, dodo
Je vous les laisse et à bientôt.
les nichons juvéniles :
Mesdames et mesdames,
Pendant que Brandon Michel vend des plats de côtes et des jarets de porcs sur le marché de Lorient,
Monsieur Roux, accompagné de Jean-Guy Bernardo et Romain le gabelin, est heureux de vous présenter en
exclusivité un extrait de son prochain album "Les Nichons Juvéniles" composé lors d'un récent séjour aux Sables d'Olonnes
Sur la plage abandonnée, entassés en rang d'oignon
c'est les vacances, faut bien bronzé alors on cuit comme des cons
avec mon livre de mots fléchés, 300 pages spécial été
Je sens que je vais m'éclater
mais c'est les vacances, faut s'amuser
mais moi je m'emmerde comme un rat mort
et je déteste les mots fléchés
Sur la plage d'ozgor je me fais des films d'été
Et je cadre en plan sérré, un défilé de c** bronzé
Et contemple volatile, l'envol des nichons juveniles
Elles ont la p***rté craneuse
pour qui elles s'prennent ces allumeuses
Les filles sont belles pendant l'été
Rebelles, et bien roulées
Mais faut pas m'la faire a l'envers
j'pourrai presque être leur père
Je vais pas me laisser embobiner par des pépés à peine réglées
y'aura bien un p't** chanceux
un plus malin ou un plus beau
qui leur fera les beaux yeux
et décrochera le gros lot
Sur une plage pendant l'été
sous les étoiles qui scintillent
il pourra éffleuré la douceur des nichons juvéniles
Adieu les nichons juvéniles
que l'on peut noter sur la plage
Les roucoulades avec les filles
ce n'est plus de mon age
a moi les nichons tout frippés
qui descendent jusqu'aux nombrils
plombés par le poids des années
et le temps qui passent sur les nichons juvéniles
Quelqu'un qui ne fait rien
C'est un luxe croyez bien
De ne servir à rien
Travailler à mon âge
Ne serait pas sérieux
Il m'a paru plus sage
De chômer un petit peu
A l'abri dans mon café
Je regarde le temps passer
Tous ces gens qui courent après
Ne le rattraperont jamais
Moi du temps, j'en ai tellement
Que j'en perds tout le temps
Il me glisse dans les doigts
Je le prends et il s'en va
Et je traîne le nez au vent
En prenant tout mon temps
M'arrêtant dans la rue
Sur de belles inconnues
Vous prendrez bien un coup
Au café ou bien chez vous
Non, je ne suis pas pressé
Je fais rien de mes journées
Profitons ma belle
Des plaisirs charnels
Après tout, c'est toujours ça
Que les banquiers n'auront pas
Savez vous que ne rien faire
Est devenu révolutionnaire
Restons au lit jusqu'au soir
Ça fera baisser le cours du dollar
Je suis un galopin
Je vais où le vent me mène
Remettant à demain
Ce que je peux faire le jour même
Et je regarde amusé
Tous ces gens travailler
Amasser, engranger
Sans jamais s'arrêter
Mais la vie est une farceuse
Qui ne respecte rien
Et la grande faucheuse
N'est jamais bien loin
Moi fauché, je le suis déjà
Alors je ne crains rien
Qu'elle me fauche ce qu'elle voudra
Je ne possède rien
Dans un éclat de rire
Je m'enfuis en courant
A l'approche des tristes sires
Qui voudraient me voir rentrer dans le rang
Non, c'est pas que je ne le veuille pas
Mais je suis pas fait pour ça
Le métro, boulot, dodo
Je vous les laisse et à bientôt.
les nichons juvéniles :
Mesdames et mesdames,
Pendant que Brandon Michel vend des plats de côtes et des jarets de porcs sur le marché de Lorient,
Monsieur Roux, accompagné de Jean-Guy Bernardo et Romain le gabelin, est heureux de vous présenter en
exclusivité un extrait de son prochain album "Les Nichons Juvéniles" composé lors d'un récent séjour aux Sables d'Olonnes
Sur la plage abandonnée, entassés en rang d'oignon
c'est les vacances, faut bien bronzé alors on cuit comme des cons
avec mon livre de mots fléchés, 300 pages spécial été
Je sens que je vais m'éclater
mais c'est les vacances, faut s'amuser
mais moi je m'emmerde comme un rat mort
et je déteste les mots fléchés
Sur la plage d'ozgor je me fais des films d'été
Et je cadre en plan sérré, un défilé de c** bronzé
Et contemple volatile, l'envol des nichons juveniles
Elles ont la p***rté craneuse
pour qui elles s'prennent ces allumeuses
Les filles sont belles pendant l'été
Rebelles, et bien roulées
Mais faut pas m'la faire a l'envers
j'pourrai presque être leur père
Je vais pas me laisser embobiner par des pépés à peine réglées
y'aura bien un p't** chanceux
un plus malin ou un plus beau
qui leur fera les beaux yeux
et décrochera le gros lot
Sur une plage pendant l'été
sous les étoiles qui scintillent
il pourra éffleuré la douceur des nichons juvéniles
Adieu les nichons juvéniles
que l'on peut noter sur la plage
Les roucoulades avec les filles
ce n'est plus de mon age
a moi les nichons tout frippés
qui descendent jusqu'aux nombrils
plombés par le poids des années
et le temps qui passent sur les nichons juvéniles